Ainsi, les dépenses d’investissement, programmées à 1225,2 milliards en 2017 contre 1170 milliards prévus en 2016, afficheraient une progression de 4,7% portée, essentiellement, par les investissements financés sur ressources internes prévus à 788,2 milliards en 2017, soit en accroissement de 7%.
De même, le ratio des dépenses en capital sur ressources internes rapportées aux recettes fiscales s’établirait, dès lors, à 39,7% en 2017, traduisant, ainsi, les efforts consentis par l’État pour financer l’investissement.
Les dépenses d’investissement sur ressources extérieures, projetées à 437 milliards, devraient, pour leur part, se conforter timidement avec une progression de 0,7%, traduisant, ainsi, la faible augmentation des dons en capital.
S’agissant des dépenses courantes, elles sont programmées à 1508,2 milliards en 2017 contre 1518 milliards prévus pour 2016, soit une contraction de 0,6% (-9,9 milliards) qui est le reflet de la maîtrise des charges de fonctionnement. En effet, les dépenses de fonctionnement, programmées à 756,9 milliards, se contracteraient de 24,5 milliards (-3,1%) par rapport à 2016, sous l’effet du retrait des transferts et subventions projetés en baisse de 31,6 milliards (-7,1%) ; les dépenses de fournitures et d’entretien étant prévues à 343,9 milliards, soit en hausse de 7,1 milliards (+2,1%).
Pathé TOURE
De même, le ratio des dépenses en capital sur ressources internes rapportées aux recettes fiscales s’établirait, dès lors, à 39,7% en 2017, traduisant, ainsi, les efforts consentis par l’État pour financer l’investissement.
Les dépenses d’investissement sur ressources extérieures, projetées à 437 milliards, devraient, pour leur part, se conforter timidement avec une progression de 0,7%, traduisant, ainsi, la faible augmentation des dons en capital.
S’agissant des dépenses courantes, elles sont programmées à 1508,2 milliards en 2017 contre 1518 milliards prévus pour 2016, soit une contraction de 0,6% (-9,9 milliards) qui est le reflet de la maîtrise des charges de fonctionnement. En effet, les dépenses de fonctionnement, programmées à 756,9 milliards, se contracteraient de 24,5 milliards (-3,1%) par rapport à 2016, sous l’effet du retrait des transferts et subventions projetés en baisse de 31,6 milliards (-7,1%) ; les dépenses de fournitures et d’entretien étant prévues à 343,9 milliards, soit en hausse de 7,1 milliards (+2,1%).
Pathé TOURE