L’annonce est de la Mission des États-Unis auprès des organisations internationales. Le pays de l’oncle Sam accorde 436, 600 dollars (environ 253 millions FCFA) pour la création de zones durables exemptes de mouches tsé-tsé en Afrique de l’Ouest.
Le financement de ce projet, confie un communiqué de ladite Mission, est assuré par le département d'État américain dans le cadre de l'Initiative sur les utilisations pacifiques de l'AIEA, que l’agence a mise en place avec l’aide des États-Unis en 2010, pour soutenir les activités de l'AIEA qui favorisent les utilisations pacifiques des technologies nucléaires.
Selon le document, depuis 2010, les États-Unis ont fait don de plus de 5 millions de dollars (presque 3 milliards de FCFA) au projet de l'AIEA de lutte contre les insectes et les parasites visant à éradiquer la population de mouches tsé-tsé au Sénégal, porteuses de la maladie de Trypanosomiase (maladie du sommeil africaine), grâce à une technologie nucléaire appelée « Technique des insectes stériles » (TIS).
« La TSI est une méthode de lutte contre les insectes nuisibles, respectueuse de l'environnement, qui utilise l'élevage en masse et la stérilisation d'un insecte nuisible cible pour réduire la population d'insectes nuisibles sans avoir recours à des insecticides. Elle est actuellement utilisée sur six continents et est employée avec succès depuis plus de 60 ans », rassure la Mission.
Les mouches tsé-tsé, indique le texte, sont des vecteurs de la maladie Trypanosomiase, qui touche non seulement les populations humaines mais aussi bovines, et leur présence a empêché l'amélioration et la productivité des troupeaux au Sénégal et dans toute l'Afrique de l'Ouest. Toutefois, cajole le Mission, la situation est en train de changer, grâce à une campagne réussie d'éradication de la mouche tsé-tsé impliquant la TIS.
« Ces efforts soulignent la pertinence de l'AIEA pour ce qui est d'impacter et d'améliorer la vie des citoyens ordinaires, et sont importants pour sa crédibilité mondiale et son statut international », relèvent les Etats unis. Qui soutiennent que les contributions américaines à ces projets soulignent également leur engagement à garantir l'accès aux utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire, comme le stipule l'article IV du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
Bassirou MBAYE
Le financement de ce projet, confie un communiqué de ladite Mission, est assuré par le département d'État américain dans le cadre de l'Initiative sur les utilisations pacifiques de l'AIEA, que l’agence a mise en place avec l’aide des États-Unis en 2010, pour soutenir les activités de l'AIEA qui favorisent les utilisations pacifiques des technologies nucléaires.
Selon le document, depuis 2010, les États-Unis ont fait don de plus de 5 millions de dollars (presque 3 milliards de FCFA) au projet de l'AIEA de lutte contre les insectes et les parasites visant à éradiquer la population de mouches tsé-tsé au Sénégal, porteuses de la maladie de Trypanosomiase (maladie du sommeil africaine), grâce à une technologie nucléaire appelée « Technique des insectes stériles » (TIS).
« La TSI est une méthode de lutte contre les insectes nuisibles, respectueuse de l'environnement, qui utilise l'élevage en masse et la stérilisation d'un insecte nuisible cible pour réduire la population d'insectes nuisibles sans avoir recours à des insecticides. Elle est actuellement utilisée sur six continents et est employée avec succès depuis plus de 60 ans », rassure la Mission.
Les mouches tsé-tsé, indique le texte, sont des vecteurs de la maladie Trypanosomiase, qui touche non seulement les populations humaines mais aussi bovines, et leur présence a empêché l'amélioration et la productivité des troupeaux au Sénégal et dans toute l'Afrique de l'Ouest. Toutefois, cajole le Mission, la situation est en train de changer, grâce à une campagne réussie d'éradication de la mouche tsé-tsé impliquant la TIS.
« Ces efforts soulignent la pertinence de l'AIEA pour ce qui est d'impacter et d'améliorer la vie des citoyens ordinaires, et sont importants pour sa crédibilité mondiale et son statut international », relèvent les Etats unis. Qui soutiennent que les contributions américaines à ces projets soulignent également leur engagement à garantir l'accès aux utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire, comme le stipule l'article IV du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
Bassirou MBAYE