«Notre continent a de nos jours plus que besoin de renforcer les pratiques de gouvernance économique qui constituent un des piliers fondamentaux des politiques de développement. ’Il n’a échappé à personne que nombre de pays africains ont défini de nouvelles politiques d’émergence qui témoignent d’une ambition légitime de se projeter dans une dynamique d’accélération de la croissance économique assortie d’une inclusion réelle des populations et de transformation économique », a déclaré M. Niang’’.
Selon lui, ces pays consacrent ainsi un nouveau paradigme économique pour aider à relever les défis liés à la compétitivité dans le contexte de mondialisation.
Il a ajouté que des mesures ambitieuses ont été définies pour impulser la croissance par des initiatives partagées au sein de la Cedeao et de l’Uemoa. Poursuivant sa communication, il estime que les projets de création d’une monnaie unique africaine et de mise en place d’une zone de libre-échange continental ouvrent de larges perspectives qui permettent de nourrir l’optimisme quant au devenir de l’Afrique.
Il n’a pas manqué de souligner l’exigence d’améliorer nos dispositifs dans le management des marchés publics, sachant que l’émergence est consubstantielle à l’adoption des standards de gouvernance édictés à travers les pays et les institutions.
Evoquant le Recop, Saer Niang informe que c’est un regroupement de quarante-neuf pays membres qui dans une démarche de synergies, souhaitent œuvrer pour conférer aux agences et administrations, une dynamique articulée avec le nouvel environnement de notre continent.
Il a expliqué que le Recop se propose d’impulser et d’harmoniser les réformes des systèmes de la commande publique sur le continent.
Oumar Nourou
Selon lui, ces pays consacrent ainsi un nouveau paradigme économique pour aider à relever les défis liés à la compétitivité dans le contexte de mondialisation.
Il a ajouté que des mesures ambitieuses ont été définies pour impulser la croissance par des initiatives partagées au sein de la Cedeao et de l’Uemoa. Poursuivant sa communication, il estime que les projets de création d’une monnaie unique africaine et de mise en place d’une zone de libre-échange continental ouvrent de larges perspectives qui permettent de nourrir l’optimisme quant au devenir de l’Afrique.
Il n’a pas manqué de souligner l’exigence d’améliorer nos dispositifs dans le management des marchés publics, sachant que l’émergence est consubstantielle à l’adoption des standards de gouvernance édictés à travers les pays et les institutions.
Evoquant le Recop, Saer Niang informe que c’est un regroupement de quarante-neuf pays membres qui dans une démarche de synergies, souhaitent œuvrer pour conférer aux agences et administrations, une dynamique articulée avec le nouvel environnement de notre continent.
Il a expliqué que le Recop se propose d’impulser et d’harmoniser les réformes des systèmes de la commande publique sur le continent.
Oumar Nourou