Selon le communiqué de presse publié à cet effet, le Comité a passé en revue les principales évolutions de la conjoncture économique internationale et régionale au cours de la période récente, ainsi que les facteurs de risque pouvant affecter les perspectives à moyen terme d'inflation et de croissance économique de l'Union.
Examinant la conjoncture interne, le Comité a relevé que l'activité économique dans l'Uemoa s’est également ressentie des effets de la propagation de la pandémie à partir du mois de mars 2020 dans tous les États membres. «Le Pib a reculé de 2,0% au deuxième trimestre 2020 par rapport à la même période de l’année précédente après une hausse de 3,2% un trimestre plus tôt.
La baisse de l'activité économique dans l'Union a été principalement impulsée par les secteurs tertiaire et secondaire dont les valeurs ajoutées ont baissé respectivement de 3,4% et 3,6% au deuxième trimestre 2020.
Par contre, la valeur ajoutée du secteur primaire s’est accrue de 3,1%, en raison de la bonne tenue de la production agricole. Au total, pour l’ensemble de l’année 2020, l’Union enregistrerait une croissance économique de 1,3%, après une réalisation de 6,1% en 2019 », lit-on dans le document.
Selon la même source, l'exécution des budgets des Etats membres de l'Union au premier semestre 2020 s’est ressentie, à l'instar de la plupart des pays du monde, des mesures prises pour endiguer la propagation du virus et limiter ses effets économiques et sociaux.
Les premières estimations disponibles laissent apparaître un creusement important du déficit budgétaire, base engagements, dons compris, par rapport à son niveau de la même période de l'année 2019.
Adou FAYE
Examinant la conjoncture interne, le Comité a relevé que l'activité économique dans l'Uemoa s’est également ressentie des effets de la propagation de la pandémie à partir du mois de mars 2020 dans tous les États membres. «Le Pib a reculé de 2,0% au deuxième trimestre 2020 par rapport à la même période de l’année précédente après une hausse de 3,2% un trimestre plus tôt.
La baisse de l'activité économique dans l'Union a été principalement impulsée par les secteurs tertiaire et secondaire dont les valeurs ajoutées ont baissé respectivement de 3,4% et 3,6% au deuxième trimestre 2020.
Par contre, la valeur ajoutée du secteur primaire s’est accrue de 3,1%, en raison de la bonne tenue de la production agricole. Au total, pour l’ensemble de l’année 2020, l’Union enregistrerait une croissance économique de 1,3%, après une réalisation de 6,1% en 2019 », lit-on dans le document.
Selon la même source, l'exécution des budgets des Etats membres de l'Union au premier semestre 2020 s’est ressentie, à l'instar de la plupart des pays du monde, des mesures prises pour endiguer la propagation du virus et limiter ses effets économiques et sociaux.
Les premières estimations disponibles laissent apparaître un creusement important du déficit budgétaire, base engagements, dons compris, par rapport à son niveau de la même période de l'année 2019.
Adou FAYE