chroniques
Il co-animait l’atelier sur la budgétisation par programme organisé par le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES) dans le cadre de son programme de renforcement des capacités de ses membres.
« Tout le dispositif est dans les machines et le Sénégal est en mesure de respecter l’engagement souscrit au niveau de l’UEMOA », a souligné cet agent de la Direction générale des finances. De plus, ajoute-t-il, notre pays a déjà expérimenté le budget programme à travers les cadres de dépenses sectorielles à moyen et long terme (CDSMT). « Toutefois, souligne M. Ndong, on ne peut pas être prêt à 100% dès le début d’une réforme budgétaire ». Il évoque pour cela le cas de la France qui a mis environ 5 ans pour dérouler son budget programme qui a démarré en 2011. De l’avis toujours de M. Ndong le budget 2016 du Sénégal qui a été voté en ligne a été traduit en budget programme. Revenant sur la notion de programme, il estime qu’il regroupe les crédits destinés à mettre en œuvre une action ou un ensemble cohérent d’actions représentatif d’une politique publique clairement définie.
Quant à Abdou Karim Sock contrôleur des opérations financières délégué auprès du ministère de la santé et de l’action sociale, il est revenu sur les objectifs visés par la budgétisation par programme. « Elle vise entre autres l’amélioration de l’efficacité de la dépense publique, l’amélioration de la viabilité, la lisibilité et la visibilité de la politique budgétaire dans le moyen et long terme », avance-t-il. Avec la réforme des finances publiques, avance M. Sock, chaque ministère aura au maximum cinq programmes dont chacun sera démultiplié en plusieurs actions avec des axes stratégiques et des objectifs visés ou repris. « Chaque programme est défini par une codification unique dans tout le budget et piloté par un responsable de programme et ses correspondants éventuels situés dans les régions ou à l’étranger », souligne encore M. Sock.
El Hadji Diakhaté
« Tout le dispositif est dans les machines et le Sénégal est en mesure de respecter l’engagement souscrit au niveau de l’UEMOA », a souligné cet agent de la Direction générale des finances. De plus, ajoute-t-il, notre pays a déjà expérimenté le budget programme à travers les cadres de dépenses sectorielles à moyen et long terme (CDSMT). « Toutefois, souligne M. Ndong, on ne peut pas être prêt à 100% dès le début d’une réforme budgétaire ». Il évoque pour cela le cas de la France qui a mis environ 5 ans pour dérouler son budget programme qui a démarré en 2011. De l’avis toujours de M. Ndong le budget 2016 du Sénégal qui a été voté en ligne a été traduit en budget programme. Revenant sur la notion de programme, il estime qu’il regroupe les crédits destinés à mettre en œuvre une action ou un ensemble cohérent d’actions représentatif d’une politique publique clairement définie.
Quant à Abdou Karim Sock contrôleur des opérations financières délégué auprès du ministère de la santé et de l’action sociale, il est revenu sur les objectifs visés par la budgétisation par programme. « Elle vise entre autres l’amélioration de l’efficacité de la dépense publique, l’amélioration de la viabilité, la lisibilité et la visibilité de la politique budgétaire dans le moyen et long terme », avance-t-il. Avec la réforme des finances publiques, avance M. Sock, chaque ministère aura au maximum cinq programmes dont chacun sera démultiplié en plusieurs actions avec des axes stratégiques et des objectifs visés ou repris. « Chaque programme est défini par une codification unique dans tout le budget et piloté par un responsable de programme et ses correspondants éventuels situés dans les régions ou à l’étranger », souligne encore M. Sock.
El Hadji Diakhaté
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