« Donner du pouvoir aux femmes et aux jeunes, c’est libérer leurs énergies et leurs talents, c’est préserver la dignité de chaque famille, c’est investir dans l’entreprenariat, c’est investir dans l’avenir ». A travers leurs activités ces deux dernières années, Papa Amadou Sarr et son équipe au sein de la Der semblent bien comprendre ce message du chef de l’Etat Macky Sall.
En effet, en présence du président Macky Sall qui a créé la Der il y a deux ans, M. Sarr souligne ceci : « Monsieur le président de la République, grâce à tous ces acteurs qui se sont impliqués et à votre soutien financier inédit (30 milliards de francs Cfa, nous avons réalisé de belles choses. » Car, explique-t-il, nous avons pu impacter ces 24 derniers mois et ce, de façon notable, l’économie sénégalaise à impulser une dynamique entrepreneuriale à consolider.
« Les ressources allouées à la Der ont donné les résultats suivants : 200 mille bénéficiaires directs et indirects dont 70% de femmes, près de 70 mille bénéficiaires pour le guichet autonomisation économique des femmes et des jeunes allant de 50 mille à 500 mille francs », énumère le délégué général. Qui ajoute dans la foulée que 45 départements impactés, 14 régions et 552 communes ont tous eu au moins 10 millions de francs Cfa sur l’ensemble du territoire national.
Et de poursuivre : « Nous avons aussi financé 1 894 Très petites entreprises (Tpe) et Petites et moyennes entreprises (Pme) avec le guichet hors autonomisation sur des financements allant de 15 millions de francs Cfa et 144 startups dans le domaine du numérique ont eu à bénéficier de financements et d’accompagnements allant de 10 mille à 100 mille euros ».
Loin de s’arrêter là, M. Sarr renchérit avec son bilan « plus que positif », ne laissant pas indifférente l’assistance qui a fait vibrer la salle ovale de Cicad avec des applaudissements effrénés. Et dans ce rythme, l’orateur enchaine, rétablissant ainsi un calme plat : « la Der, c’est aussi 786 structures bénéficiaires formalisées en supportant les frais d’immatriculation, d’inscription au Ninea entre autres ».
En ce sens, dit-il, on a investi 100 mille euros pour interconnecter les tribunaux de grande instance et les chambres de commerces pour pouvoir mettre en place un système d’obtention de régie de commerce et du NInea à partir de son téléphone portable. A en croire le patron de la Der, pas moins de 80 mille comptes bancaires ont été ouverts en deux ans au niveau des différentes banques et institutions de microfinance de la place.
Bassirou MBAYE
En effet, en présence du président Macky Sall qui a créé la Der il y a deux ans, M. Sarr souligne ceci : « Monsieur le président de la République, grâce à tous ces acteurs qui se sont impliqués et à votre soutien financier inédit (30 milliards de francs Cfa, nous avons réalisé de belles choses. » Car, explique-t-il, nous avons pu impacter ces 24 derniers mois et ce, de façon notable, l’économie sénégalaise à impulser une dynamique entrepreneuriale à consolider.
« Les ressources allouées à la Der ont donné les résultats suivants : 200 mille bénéficiaires directs et indirects dont 70% de femmes, près de 70 mille bénéficiaires pour le guichet autonomisation économique des femmes et des jeunes allant de 50 mille à 500 mille francs », énumère le délégué général. Qui ajoute dans la foulée que 45 départements impactés, 14 régions et 552 communes ont tous eu au moins 10 millions de francs Cfa sur l’ensemble du territoire national.
Et de poursuivre : « Nous avons aussi financé 1 894 Très petites entreprises (Tpe) et Petites et moyennes entreprises (Pme) avec le guichet hors autonomisation sur des financements allant de 15 millions de francs Cfa et 144 startups dans le domaine du numérique ont eu à bénéficier de financements et d’accompagnements allant de 10 mille à 100 mille euros ».
Loin de s’arrêter là, M. Sarr renchérit avec son bilan « plus que positif », ne laissant pas indifférente l’assistance qui a fait vibrer la salle ovale de Cicad avec des applaudissements effrénés. Et dans ce rythme, l’orateur enchaine, rétablissant ainsi un calme plat : « la Der, c’est aussi 786 structures bénéficiaires formalisées en supportant les frais d’immatriculation, d’inscription au Ninea entre autres ».
En ce sens, dit-il, on a investi 100 mille euros pour interconnecter les tribunaux de grande instance et les chambres de commerces pour pouvoir mettre en place un système d’obtention de régie de commerce et du NInea à partir de son téléphone portable. A en croire le patron de la Der, pas moins de 80 mille comptes bancaires ont été ouverts en deux ans au niveau des différentes banques et institutions de microfinance de la place.
Bassirou MBAYE