Selon le texte « Pour affronter ces problématiques, la FAO et l'Académie chinoise des sciences agricoles (CAAS), le Centre international pour la recherche en agroforesterie (CIRAF) et le Northwest Institute of Plateau Biology de Chine (NWIPB) travaillent depuis plusieurs années à l'intégration des efforts de restauration des pâturages dans les mécanismes de financement internationaux consacrés au climat ».
« La réhabilitation des pâturages dégradés par des pratiques plus durables et la production de fourrage peut considérablement améliorer l'alimentation et la productivité animale au bénéfice des gardiens de troupeaux qui dépendent de l'élevage pour vivre », informe la même source.
Le document renseigne que « la restauration des pâturages dégradés permet également de piéger de gros volumes de carbone atmosphérique, contribuant ainsi à atténuer le changement climatique ».
« Pour ce faire, les mesures d'incitation économique sont décisives. Les mécanismes de crédits carbone, qui rémunèrent les projets en échange de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et de la fixation du carbone, existent bel et bien, offrant en théorie aux agriculteurs la possibilité de gagner de l'argent en adoptant des pratiques d'atténuation du changement climatique »,explique le texte. .
« Toutefois, la participation de l'agriculture aux marchés du carbone y compris ceux concernant les systèmes basés sur le pâturage a jusqu'à présent été plutôt limitée », ajoute dans le communiqué.
« Cela s'explique notamment par la difficulté de mesurer la quantité de carbone piégée grâce aux pratiques agricoles améliorées. Ce n'est qu'avec des approches fiables et abordables que les mesures, déclarations et vérifications du carbone fixé peuvent donner accès aux fonds pour le climat », souligne le communiqué.
Ndeye Maguette kébé
« La réhabilitation des pâturages dégradés par des pratiques plus durables et la production de fourrage peut considérablement améliorer l'alimentation et la productivité animale au bénéfice des gardiens de troupeaux qui dépendent de l'élevage pour vivre », informe la même source.
Le document renseigne que « la restauration des pâturages dégradés permet également de piéger de gros volumes de carbone atmosphérique, contribuant ainsi à atténuer le changement climatique ».
« Pour ce faire, les mesures d'incitation économique sont décisives. Les mécanismes de crédits carbone, qui rémunèrent les projets en échange de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et de la fixation du carbone, existent bel et bien, offrant en théorie aux agriculteurs la possibilité de gagner de l'argent en adoptant des pratiques d'atténuation du changement climatique »,explique le texte. .
« Toutefois, la participation de l'agriculture aux marchés du carbone y compris ceux concernant les systèmes basés sur le pâturage a jusqu'à présent été plutôt limitée », ajoute dans le communiqué.
« Cela s'explique notamment par la difficulté de mesurer la quantité de carbone piégée grâce aux pratiques agricoles améliorées. Ce n'est qu'avec des approches fiables et abordables que les mesures, déclarations et vérifications du carbone fixé peuvent donner accès aux fonds pour le climat », souligne le communiqué.
Ndeye Maguette kébé