M. Massamba Sène présidait l’ouverture officielle d’un atelier de dissémination de l’étude portant sur « l’Intégration régionale en Afrique de l’Ouest : Défis et opportunités pour le Sénégal » organisé par la Banque africaine de développement (BAD). « L’une des contraintes les plus handicapantes est certainement le déficit voire la vétusté des infrastructures de transport dont l’impact sur la hausse des prix obère considérablement la compétitivité des entreprises de la région », a ajouté M. Sène. Selon lui, après constat et analyse des causes profondes et conséquences du faible niveau d’intégration de nos Etats, la question fondamentale est de savoir comment faire en sorte que l’intégration régionale soit un levier effectif de développement socio-économique.
« L’autre question connexe, affirme encore M. Sène, est relative aux stratégies à mettre en œuvre afin que le Sénégal tire le meilleur parti du processus d’intégration régional devenu une exigence dans un contexte où l’adhésion aux grands ensembles semble être la clé du succès ». Selon M. Sène, ces questions trouveront réponse dans la création d’un climat des affaires plus favorable à l’investissement, une intégration financière plus poussée, la diversification et la complémentarité des économies sans compter le développement des infrastructures et l’investissement dans le capital humain.
« Dans sa quête d’un développement socio-économique harmonieux et durable, le gouvernement du Sénégal a érigé au rang de priorités les exigences que je viens d’énumérer », soutient Massamba Sène. Il reste à cet égard convaincu que ces exigences sont consacrées dans le Plan Sénégal émergent qui constitue le cadre consensuel de coordination des interventions de l’Etat.
Ismaila BA
« L’autre question connexe, affirme encore M. Sène, est relative aux stratégies à mettre en œuvre afin que le Sénégal tire le meilleur parti du processus d’intégration régional devenu une exigence dans un contexte où l’adhésion aux grands ensembles semble être la clé du succès ». Selon M. Sène, ces questions trouveront réponse dans la création d’un climat des affaires plus favorable à l’investissement, une intégration financière plus poussée, la diversification et la complémentarité des économies sans compter le développement des infrastructures et l’investissement dans le capital humain.
« Dans sa quête d’un développement socio-économique harmonieux et durable, le gouvernement du Sénégal a érigé au rang de priorités les exigences que je viens d’énumérer », soutient Massamba Sène. Il reste à cet égard convaincu que ces exigences sont consacrées dans le Plan Sénégal émergent qui constitue le cadre consensuel de coordination des interventions de l’Etat.
Ismaila BA