Dans une présentation effectuée au siège de la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank), lors de la première édition de la Série des Séminaires Afreximbank sur le Commerce et le Développement, Florizelle Liser a dit que les secteurs qui avaient le plus bénéficié de l’AGOA étaient ceux de l’industrie automobile, des produits textiles, des chaussures, des préparations de fruits et légumes, des noix et des fleurs coupées.
«L’AGOA a permis d’aider de nombreux pays Africains à diversifier leurs portefeuilles d’exportation», a-t-elle déclaré, ajoutant que plusieurs centaines de milliers d’emplois avaient été créés grâce à ce Traité.
Notant la faible part de l’Afrique dans les échanges commerciaux avec les États-Unis, qui se situe actuellement à deux pour cent, la représentante a cité les contraintes liées au manque d’infrastructures électriques, portuaires, ou de transport terrestre et d’accès à Internet comme principaux obstacles au développement de l’offre du continent et à la croissance du commerce Africain.
D’autres facteurs incluent la faible envergure du commerce intra-Africain qui empêche d’effectuer des économies d’échelle, et les difficultés des producteurs et industriels Africains à remplir les critères des standards américains. Florizelle Liser a souligné les initiatives de développement du gouvernement américain axées sur l’Afrique, telles que le Millennium Challenge Corporation, qui prévoit l’octroi de plus de 7.9 milliards de dollars US, soit 68 pour cent du portefeuille total, dédié au continent.
Pathé TOURE
«L’AGOA a permis d’aider de nombreux pays Africains à diversifier leurs portefeuilles d’exportation», a-t-elle déclaré, ajoutant que plusieurs centaines de milliers d’emplois avaient été créés grâce à ce Traité.
Notant la faible part de l’Afrique dans les échanges commerciaux avec les États-Unis, qui se situe actuellement à deux pour cent, la représentante a cité les contraintes liées au manque d’infrastructures électriques, portuaires, ou de transport terrestre et d’accès à Internet comme principaux obstacles au développement de l’offre du continent et à la croissance du commerce Africain.
D’autres facteurs incluent la faible envergure du commerce intra-Africain qui empêche d’effectuer des économies d’échelle, et les difficultés des producteurs et industriels Africains à remplir les critères des standards américains. Florizelle Liser a souligné les initiatives de développement du gouvernement américain axées sur l’Afrique, telles que le Millennium Challenge Corporation, qui prévoit l’octroi de plus de 7.9 milliards de dollars US, soit 68 pour cent du portefeuille total, dédié au continent.
Pathé TOURE