7ème Assemblée Générale extraordinaire du Conseil des Gouverneurs : La BIDC priée d’achever sa réforme institutionnelle entreprise depuis 2013

Jeudi 31 Janvier 2019

Le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie des Finances et du Plan, estime que la réforme institutionnelle que le Conseil des gouverneurs de la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (Bidc) avait courageusement engagée, il y a déjà quelques années, qui s’est traduite par la révision des statuts de la banque en juin 2013, est un vaste chantier qui doit absolument être menée à son terme, afin de doter la BIDC des outils de gouvernance les plus performants.


7ème Assemblée Générale extraordinaire du Conseil des Gouverneurs : La BIDC priée d’achever sa réforme institutionnelle entreprise depuis 2013
M. Birima Mangara a fait cette invite au terme des travaux du septième Assemblée générale extraordinaire du Conseil qui a pris fin ce jeudi 31 janvier à Dakar.

Il a ainsi félicité la Haute Direction et le Conseil d’administration pour l’ensemble des politiques, procédures et autres directives adoptées pour faire de cette banque une institution de référence.
Le ministre du budget estime qu’il appartenait aux membres d’adopter les textes d’application qui complètent le dispositif révisé. « C’est dans cet ordre d’idées que nous avons adopté notre règlement intérieur à Niamey, en juillet 2014 », rappelle-t-il.

Auparavant, poursuit M. Mangara, nous avions déjà eu la sagesse d’instaurer un mécanisme de présidence tournante de notre Conseil, selon un ordre préétabli et transparent qui fonctionne parfaitement depuis quatorze ans et qui donne pleine satisfaction à tous les acteurs.
Pour rappel ; lors de la cérémonie d’ouverture , Birima Mangara avait rappelé que l’ assemblée générale extraordinaire procède de la même dynamique, car elle est principalement axée sur deux études que nous sommes invités à examiner.

La première concerne le mécanisme de rotation des postes de président et de vice-présidents de la BIDC et de renouvellement de leurs mandats, dont le principe est inscrit dans les statuts et que nous sommes appelés à mettre en œuvre. Il s’agit là d’un défi majeur qui n’est cependant pas au-dessus de nos capacités. Et en  second lieu, nous sommes invités à nous pencher sur l’étude relative aux conditions de service et aux avantages de fin de mandat du président de la BIDC. Il nous appartient de prendre une décision éclairée sur cette requête qui nous avait déjà été soumise antérieurement.
 
Adou FAYE
 
 
Actu-Economie


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