Il s’exprimait, au nom du secteur privé sénégalais, lors l’ouverture de la 12ème session du Conseil présidentiel de l’investissement (CPI). Selon M. Kama la complicité entre le gouvernement marocain et son secteur privé marocain, a permis à ce dernier d’avoir une part de marché importante dans ce pays, allant de 47 à 90%.
« La transformation structurelle de notre économie a besoin d’une forte coalition », estime Mansour Kama. Dans cette perspective, ajoute-t-il, le CPI devrait être un cadre stratégique. Le président de la CNES reste convaincu que la croissance de l’économie sénégalaise s’améliore. « Mais, soutient-il, nous pouvons et devons faire plus ». De l’avis toujours du représentant du patronat sénégalais, pour tirer encore cette croissance, il faut des réformes et avoir un ancrage plus poussé vers le marché sous-régional.
El Hadj Diakhaté
« La transformation structurelle de notre économie a besoin d’une forte coalition », estime Mansour Kama. Dans cette perspective, ajoute-t-il, le CPI devrait être un cadre stratégique. Le président de la CNES reste convaincu que la croissance de l’économie sénégalaise s’améliore. « Mais, soutient-il, nous pouvons et devons faire plus ». De l’avis toujours du représentant du patronat sénégalais, pour tirer encore cette croissance, il faut des réformes et avoir un ancrage plus poussé vers le marché sous-régional.
El Hadj Diakhaté