Créé pour coordonner et promouvoir le développement géo-spatial sur le continent, UN-GGIM: Africa œuvre à bâtir une vision unifiée autour de l’utilisation des données spatiales au service de la gouvernance, de la planification et de la croissance économique.
Cette vision repose sur quatre piliers que sont le renforcement des compétences et de la culture géo-spatiale, la mise en place de bases de données interopérables et normalisées, l’innovation technologique par des partenariats public-privé, et l’intégration de technologies de pointe pour moderniser les systèmes nationaux de cartographie et d’analyse spatiale.
Ces initiatives visent à soutenir des politiques publiques fondées sur les données, capables de répondre aux défis structurels du continent (urbanisation rapide, gestion des ressources naturelles, planification des infrastructures, et résilience climatique).
Une session stratégique pour consolider dix ans de progrès
Cette onzième session offrira une plateforme de revue des actions passées et des recommandations précédentes, tout en traçant la voie vers une gouvernance plus intégrée de l’information géo-spatiale en Afrique. L’objectif : accélérer l’utilisation de la donnée spatiale comme levier de croissance durable et renforcer la souveraineté numérique des pays africains.
« La gestion de l’information géo-spatiale est devenue un pilier du développement durable et de la compétitivité mondiale. L’Afrique doit consolider ses avancées pour transformer la donnée en moteur d’innovation et de décision stratégique », souligne la Cea.
L’événement intervient à un moment charnière où la transformation digitale s’impose comme moteur de résilience économique et climatique. Selon la Cea, les discussions porteront notamment sur la création de mécanismes de financement pérennes et sur la coopération régionale pour mutualiser les infrastructures de données spatiales.
Accra, capitale africaine de la géo-intelligence en 2025
En marge de cette session, se tiendra également AfricaGIS 2025, la plus grande conférence africaine sur les systèmes d’information géographique (SIG). Cette articulation permettra de favoriser l’apprentissage entre pairs et d’encourager la coopération entre chercheurs, décideurs, innovateurs et acteurs du secteur privé autour des politiques géo-spatiales et des innovations numériques.
Experts, responsables publics, entreprises technologiques et universitaires y aborderont des thèmes tels que : la gouvernance des données et leur interopérabilité à l’échelle continentale, l’usage de la géo-intelligence pour la planification urbaine, la transition écologique et énergétique appuyée par la donnée spatiale, et les enjeux éthiques liés à l’exploitation des données géo-localisées.
Bassirou MBAYE
Cette vision repose sur quatre piliers que sont le renforcement des compétences et de la culture géo-spatiale, la mise en place de bases de données interopérables et normalisées, l’innovation technologique par des partenariats public-privé, et l’intégration de technologies de pointe pour moderniser les systèmes nationaux de cartographie et d’analyse spatiale.
Ces initiatives visent à soutenir des politiques publiques fondées sur les données, capables de répondre aux défis structurels du continent (urbanisation rapide, gestion des ressources naturelles, planification des infrastructures, et résilience climatique).
Une session stratégique pour consolider dix ans de progrès
Cette onzième session offrira une plateforme de revue des actions passées et des recommandations précédentes, tout en traçant la voie vers une gouvernance plus intégrée de l’information géo-spatiale en Afrique. L’objectif : accélérer l’utilisation de la donnée spatiale comme levier de croissance durable et renforcer la souveraineté numérique des pays africains.
« La gestion de l’information géo-spatiale est devenue un pilier du développement durable et de la compétitivité mondiale. L’Afrique doit consolider ses avancées pour transformer la donnée en moteur d’innovation et de décision stratégique », souligne la Cea.
L’événement intervient à un moment charnière où la transformation digitale s’impose comme moteur de résilience économique et climatique. Selon la Cea, les discussions porteront notamment sur la création de mécanismes de financement pérennes et sur la coopération régionale pour mutualiser les infrastructures de données spatiales.
Accra, capitale africaine de la géo-intelligence en 2025
En marge de cette session, se tiendra également AfricaGIS 2025, la plus grande conférence africaine sur les systèmes d’information géographique (SIG). Cette articulation permettra de favoriser l’apprentissage entre pairs et d’encourager la coopération entre chercheurs, décideurs, innovateurs et acteurs du secteur privé autour des politiques géo-spatiales et des innovations numériques.
Experts, responsables publics, entreprises technologiques et universitaires y aborderont des thèmes tels que : la gouvernance des données et leur interopérabilité à l’échelle continentale, l’usage de la géo-intelligence pour la planification urbaine, la transition écologique et énergétique appuyée par la donnée spatiale, et les enjeux éthiques liés à l’exploitation des données géo-localisées.
Bassirou MBAYE


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