
Selon une note d’information, la cérémonie d'ouverture du Sommet de Nairobi a été présidée par Kithure Kindiki, Vice-Président de la République du Kenya, en présence de centaines de chefs d'entreprise.
Le Président Baïdy Agne, renseigne la même note, s'est s'engagé à soutenir le nouveau contrat social et la coalition mondiale pour la justice sociale initiés par l'Organisation internationale du travail (Oit).
S'adressant aux chefs d'entreprise, il les a invités à apporter des réponses durables aux mutations technologiques, à la transition numérique, à la nouvelle économie-climat, au développement durable, au dividende démographique à capter, ainsi qu’à la souveraineté alimentaire, énergétique et économique de l’Afrique.
Baïdy Agne a souligné à quel point, dans le contexte actuel, l’entreprise africaine a besoin de paix sociale, de stabilité politique, de protection de l’investissement, de bonne gouvernance macro-économique et budgétaire, d’un dialogue public/privé inclusif et d’un dialogue social tripartite constructif.
Sous sa présidence, Business Africa entend jouer pleinement sa partition pour promouvoir les co-investissements entre privés africains ; − définir des alliances stratégiques avec les investissements directs étrangers ; − accélérer l’intégration économique, financière et monétaire de l’Afrique.
Adou Faye
Le Président Baïdy Agne, renseigne la même note, s'est s'engagé à soutenir le nouveau contrat social et la coalition mondiale pour la justice sociale initiés par l'Organisation internationale du travail (Oit).
S'adressant aux chefs d'entreprise, il les a invités à apporter des réponses durables aux mutations technologiques, à la transition numérique, à la nouvelle économie-climat, au développement durable, au dividende démographique à capter, ainsi qu’à la souveraineté alimentaire, énergétique et économique de l’Afrique.
Baïdy Agne a souligné à quel point, dans le contexte actuel, l’entreprise africaine a besoin de paix sociale, de stabilité politique, de protection de l’investissement, de bonne gouvernance macro-économique et budgétaire, d’un dialogue public/privé inclusif et d’un dialogue social tripartite constructif.
Sous sa présidence, Business Africa entend jouer pleinement sa partition pour promouvoir les co-investissements entre privés africains ; − définir des alliances stratégiques avec les investissements directs étrangers ; − accélérer l’intégration économique, financière et monétaire de l’Afrique.
Adou Faye