Cette contreperformance s’explique par les arrêts techniques observés, dans le volet égrenage, en absence de fibre de coton. Sur un an, la branche s’est également fortement contractée, de 47,1% au troisième trimestre 2018 et 8,9% en cumul sur les neuf premiers mois de l’année. Cette situation découle de l’irrégularité de la pluviométrie ainsi que de l’abandon du coton par les paysans au profit d’autres spéculations (notamment l’arachide) jugées plus intéressantes en termes de prix au producteur, note la Dpee.
Adou FAYE
Adou FAYE