Bien que dynamique et en croissance, le secteur des Services est confronté à un certain nombre de défis qui entravent son plein développement et sa compétitivité. La formation professionnelle est souvent inadaptée aux besoins du secteur des services, ce qui entraîne une pénurie de personnel qualifié dans certains domaines, notamment les technologies de l'information et de la communication (TIC), le tourisme, la finance et les services aux entreprises.
Par ailleurs, la productivité des entreprises de services est souvent faible, en raison notamment du manque d'investissement dans les technologies modernes, de la faible qualification du personnel et de l'organisation du travail. Enfin, la concurrence étrangère qui est de plus en plus forte, notamment dans les secteurs du tourisme, des télécommunications et des services financiers, met sous pression les entreprises locales.
Avec 41,28%, les unités industrielles viennent en deuxième position avec une valeur ajoutée s’établissant à 1456,11 milliards de FCFA en 2023. Malgré cette performance, le secteur industriel doit faire face à un certain nombre de défis tels que le coût élevé des facteurs de production, la forte concentration sur quelques secteurs, la faible diversification industrielle, la faiblesse de la compétitivité et l’accès au financement pour investir dans leur développement et leur modernisation.
Les unités commerciales arrivent à la place troisième place avec une valeur ajoutée sectorielle de 303,15 milliards de FCFA (8,59%) en 2023. Pilier essentiel de l'économie, le secteur du Commerce est toutefois confronté à une multitude de défis qui freinent son essor et nécessitent des solutions adaptées. Ces défis touchent aussi bien le commerce de détail que le commerce de gros, le commerce intérieur que le commerce extérieur. Ils sont liés à la compétitivité et à la modernisation du secteur, à l'organisation et à la structuration, à la faible valeur ajoutée des exportations ainsi qu’à l’accès aux marchés étrangers.
Avec une valeur ajoutée s’établissant à 220,46 milliards de FCFA, les entreprises de BTP participent à hauteur de 6,25% dans la formation du PIB. Ce niveau relativement faible de contribution a été accentué également par la contreperformance du secteur avec une baisse notée de la valeur ajoutée (273, 62 milliards en 2022 à 220,46 milliards en 2023).
Le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) fait face à plusieurs défis. Le prix des matériaux de construction, souvent importés, est élevé et fluctue en fonction des cours mondiaux, ce qui renchérit les coûts de construction et plombe la compétitivité des entreprises locales.
Le secteur souffre également d'une pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans certains métiers, la formation professionnelle est souvent inadaptée aux besoins du marché, ce qui entraîne un manque de compétences et de savoir-faire. De même, les infrastructures de transport, d'énergie et de communication sont parfois insuffisantes ou vétustes, ce qui freine les déplacements, les échanges commerciaux et l'accès aux chantiers.
Les entreprises du BTP, en particulier les PME, ont souvent du mal à accéder aux financements pour réaliser leurs projets, moderniser leurs équipements et se développer.
Lejecos Magazine
Par ailleurs, la productivité des entreprises de services est souvent faible, en raison notamment du manque d'investissement dans les technologies modernes, de la faible qualification du personnel et de l'organisation du travail. Enfin, la concurrence étrangère qui est de plus en plus forte, notamment dans les secteurs du tourisme, des télécommunications et des services financiers, met sous pression les entreprises locales.
Avec 41,28%, les unités industrielles viennent en deuxième position avec une valeur ajoutée s’établissant à 1456,11 milliards de FCFA en 2023. Malgré cette performance, le secteur industriel doit faire face à un certain nombre de défis tels que le coût élevé des facteurs de production, la forte concentration sur quelques secteurs, la faible diversification industrielle, la faiblesse de la compétitivité et l’accès au financement pour investir dans leur développement et leur modernisation.
Les unités commerciales arrivent à la place troisième place avec une valeur ajoutée sectorielle de 303,15 milliards de FCFA (8,59%) en 2023. Pilier essentiel de l'économie, le secteur du Commerce est toutefois confronté à une multitude de défis qui freinent son essor et nécessitent des solutions adaptées. Ces défis touchent aussi bien le commerce de détail que le commerce de gros, le commerce intérieur que le commerce extérieur. Ils sont liés à la compétitivité et à la modernisation du secteur, à l'organisation et à la structuration, à la faible valeur ajoutée des exportations ainsi qu’à l’accès aux marchés étrangers.
Avec une valeur ajoutée s’établissant à 220,46 milliards de FCFA, les entreprises de BTP participent à hauteur de 6,25% dans la formation du PIB. Ce niveau relativement faible de contribution a été accentué également par la contreperformance du secteur avec une baisse notée de la valeur ajoutée (273, 62 milliards en 2022 à 220,46 milliards en 2023).
Le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) fait face à plusieurs défis. Le prix des matériaux de construction, souvent importés, est élevé et fluctue en fonction des cours mondiaux, ce qui renchérit les coûts de construction et plombe la compétitivité des entreprises locales.
Le secteur souffre également d'une pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans certains métiers, la formation professionnelle est souvent inadaptée aux besoins du marché, ce qui entraîne un manque de compétences et de savoir-faire. De même, les infrastructures de transport, d'énergie et de communication sont parfois insuffisantes ou vétustes, ce qui freine les déplacements, les échanges commerciaux et l'accès aux chantiers.
Les entreprises du BTP, en particulier les PME, ont souvent du mal à accéder aux financements pour réaliser leurs projets, moderniser leurs équipements et se développer.
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