chroniques
En glissement annuel, la hausse des ressources est principalement attribuable à la composante budgétaire (+17,7%). En particulier, les recettes fiscales se sont établies à 1327,3 milliards à fin juillet 2019 contre 1125,4 milliards un an auparavant, soit une progression de 17,9%.
Selon la même source, celle-ci résulte principalement des bonnes performances des recouvrements de droits et taxes au cordon douanier (+23,8%), de l’impôt sur le revenu (+13,7%) et de la taxe spécifique pétrole (+65,9%), à respectivement 445,7 milliards, 231,0 milliards et 79,1 milliards.
Le rapatriement des taxes parafiscales à hauteur de 43,7 milliards a, également, contribué au bon comportement des recettes budgétaires.
A l’inverse, les droits d’enregistrement (28,6 milliards) se sont amoindris de 8% à fin juillet 2019. Concernant les recettes non fiscales, les revenus des domaines se sont repliés de 7,2 milliards (-37,0%) sur la période. Ce recul a, toutefois, été atténué par la bonne tenue des produits financiers (+13,9%) qui sont évalués à 44,3 milliards.
Adou FAYE
Selon la même source, celle-ci résulte principalement des bonnes performances des recouvrements de droits et taxes au cordon douanier (+23,8%), de l’impôt sur le revenu (+13,7%) et de la taxe spécifique pétrole (+65,9%), à respectivement 445,7 milliards, 231,0 milliards et 79,1 milliards.
Le rapatriement des taxes parafiscales à hauteur de 43,7 milliards a, également, contribué au bon comportement des recettes budgétaires.
A l’inverse, les droits d’enregistrement (28,6 milliards) se sont amoindris de 8% à fin juillet 2019. Concernant les recettes non fiscales, les revenus des domaines se sont repliés de 7,2 milliards (-37,0%) sur la période. Ce recul a, toutefois, été atténué par la bonne tenue des produits financiers (+13,9%) qui sont évalués à 44,3 milliards.
Adou FAYE
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