chroniques
Cette évolution est essentiellement soutenue par les augmentations respectives des productions contrôlées de viande bovine (+33,1%), ovine (+25,1%) et caprine (+27,8%).
Concernant les abattages de bovins, le quatrième trimestre 2018 a coïncidé avec la fin de l’hivernage où les prix des animaux sur pieds sont abordables et l’abattage des animaux en âge avancé, en raison de la transhumance, est considérable. Pour les petits ruminants, l’accroissement des abattages reflète l’accroissement de la demande à l’occasion des fêtes de noël et fin d’année.
Ainsi, l’augmentation de l’offre a entrainé une baisse de 0,2% des prix de la viande de bœuf entre les deux derniers trimestres de 2018. En rythme annuel, le sous-secteur de l’élevage s’est renforcé de 9,8% au quatrième trimestre 2018, à la faveur des bonnes évolutions des abattages de bovins (+5,8%), caprins (+31,1%) et ovins (+14,2%).
Sur l’année 2018, l’élevage s’est aussi affermi (+8,4%), comparativement à 2017, note la Dpee. En particulier, les productions contrôlées de viande bovine (+4,6%), caprine (+22,0%) et ovine (+15,8%) se sont bien orientées grâce, notamment, à une meilleure fréquentation des structures formelles par les professionnels, suite au renforcement de la lutte contre les abattages clandestins et à la mise en niveau du matériel des abattoirs. Par ailleurs, l’entrée sur le territoire national de bêtes embouchées en provenance de la Mauritanie et du Mali a entrainé une augmentation du poids moyen des carcasses.
Adou FAYE
Concernant les abattages de bovins, le quatrième trimestre 2018 a coïncidé avec la fin de l’hivernage où les prix des animaux sur pieds sont abordables et l’abattage des animaux en âge avancé, en raison de la transhumance, est considérable. Pour les petits ruminants, l’accroissement des abattages reflète l’accroissement de la demande à l’occasion des fêtes de noël et fin d’année.
Ainsi, l’augmentation de l’offre a entrainé une baisse de 0,2% des prix de la viande de bœuf entre les deux derniers trimestres de 2018. En rythme annuel, le sous-secteur de l’élevage s’est renforcé de 9,8% au quatrième trimestre 2018, à la faveur des bonnes évolutions des abattages de bovins (+5,8%), caprins (+31,1%) et ovins (+14,2%).
Sur l’année 2018, l’élevage s’est aussi affermi (+8,4%), comparativement à 2017, note la Dpee. En particulier, les productions contrôlées de viande bovine (+4,6%), caprine (+22,0%) et ovine (+15,8%) se sont bien orientées grâce, notamment, à une meilleure fréquentation des structures formelles par les professionnels, suite au renforcement de la lutte contre les abattages clandestins et à la mise en niveau du matériel des abattoirs. Par ailleurs, l’entrée sur le territoire national de bêtes embouchées en provenance de la Mauritanie et du Mali a entrainé une augmentation du poids moyen des carcasses.
Adou FAYE
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
