Selon ces dirigeants, cet engagement se poursuivra au niveau régional et international en étroite coopération avec le secrétaire général des Nations unies, le président de la Commission de l’Union africaine et le président en exercice de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest qui jouent un rôle crucial dans les efforts de la communauté internationale en soutien au Sahel.
Selon la déclaration, les dirigeants expriment leurs vives préoccupations face à l’expansion du terrorisme et à la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire dans la région du Sahel.
Les dirigeants condamnent fermement les attaques terroristes et criminelles qui ciblent les populations civiles, les représentants de l’État, les forces de défense et de sécurité ainsi que les infrastructures socio-économiques et qui portent atteinte à la cohésion sociale et communautaire.
Cet engagement, explique-t-on, traduit un nouvel élan collectif en faveur de la stabilité et du développement de la région du Sahel. Il rappelle également les efforts consentis par le G5 Sahel et ses États membres pour s’équiper avec les outils conceptuels appropriés et à jour afin de guider et diriger l’action des politiques publiques au niveau national, les politiques de sécurité et de défense et la coopération au développement, en particulier la « Stratégie pour le développement et la sécurité des pays du G5 Sahel » de septembre 2016 et le « Cadre d’actions prioritaires intégré (Capi) » de février 2020.
Dans ce contexte, ils soulignent que l’allocation de soutien devrait se faire en tenant compte des priorités définies par les pays du G5 Sahel.
Adou FAYE
Selon la déclaration, les dirigeants expriment leurs vives préoccupations face à l’expansion du terrorisme et à la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire dans la région du Sahel.
Les dirigeants condamnent fermement les attaques terroristes et criminelles qui ciblent les populations civiles, les représentants de l’État, les forces de défense et de sécurité ainsi que les infrastructures socio-économiques et qui portent atteinte à la cohésion sociale et communautaire.
Cet engagement, explique-t-on, traduit un nouvel élan collectif en faveur de la stabilité et du développement de la région du Sahel. Il rappelle également les efforts consentis par le G5 Sahel et ses États membres pour s’équiper avec les outils conceptuels appropriés et à jour afin de guider et diriger l’action des politiques publiques au niveau national, les politiques de sécurité et de défense et la coopération au développement, en particulier la « Stratégie pour le développement et la sécurité des pays du G5 Sahel » de septembre 2016 et le « Cadre d’actions prioritaires intégré (Capi) » de février 2020.
Dans ce contexte, ils soulignent que l’allocation de soutien devrait se faire en tenant compte des priorités définies par les pays du G5 Sahel.
Adou FAYE