chroniques
Le Cdeps note que les locaux du quotidien LES ÉCHOS ont été saccagés ce lundi 3 août 2020 par des énergumènes qui n’ont pas été identifiés. Il remarque dans la foulée que les ordinateurs de la salle de rédaction et les machines de la salle de montage ont été détruits par les agresseurs.
Le préjudice pourrait s’élever, selon le Conseil, à plusieurs dizaines de millions et qu’aucun dommage physique n’a été déploré pour le vigile, seul présent à la rédaction. En ce sens, le Conseil des Éditeurs et Diffuseurs de Presse du Sénégal (Cdeps), dirigé par Mamadou Ibra Kane, « condamne avec fermeté cette agression ignoble et exprime toute sa solidarité au journal LES ÉCHOS, à ses travailleurs et à sa direction ».
« Les auteurs de cette barbarie prétextent de la publication, par le quotidien LES ÉCHOS, de l’hospitalisation pour cause de Covid-19 du responsable moral des Moustarchidines Wal Moustarchidaty, Serigne Moustapha Sy », souligne le président du Cdeps. Qui relève que le journal, qui n’a fait que relater l’information, a même souhaité un prompt rétablissement à Serigne Moustapha Sy.
« Aucun des agresseurs », suite aux attaques contre la presse, « n’a jamais été pris et il règne une sorte d’impunité d’auteurs de violences contre les journalistes et les maisons de presse », dénoncent Mamadou Ibra Kane et Cie. Ils regrettent également le fait que « les forces de sécurité sont restées muettes sur les auteurs de ces agressions contre la liberté de presse ». Car, indique le communiqué, aucun des forfaits commis contre la liberté de presse n’a aussi fait l’objet de poursuites devant les tribunaux.
Bassirou MBAYE
Le préjudice pourrait s’élever, selon le Conseil, à plusieurs dizaines de millions et qu’aucun dommage physique n’a été déploré pour le vigile, seul présent à la rédaction. En ce sens, le Conseil des Éditeurs et Diffuseurs de Presse du Sénégal (Cdeps), dirigé par Mamadou Ibra Kane, « condamne avec fermeté cette agression ignoble et exprime toute sa solidarité au journal LES ÉCHOS, à ses travailleurs et à sa direction ».
« Les auteurs de cette barbarie prétextent de la publication, par le quotidien LES ÉCHOS, de l’hospitalisation pour cause de Covid-19 du responsable moral des Moustarchidines Wal Moustarchidaty, Serigne Moustapha Sy », souligne le président du Cdeps. Qui relève que le journal, qui n’a fait que relater l’information, a même souhaité un prompt rétablissement à Serigne Moustapha Sy.
« Aucun des agresseurs », suite aux attaques contre la presse, « n’a jamais été pris et il règne une sorte d’impunité d’auteurs de violences contre les journalistes et les maisons de presse », dénoncent Mamadou Ibra Kane et Cie. Ils regrettent également le fait que « les forces de sécurité sont restées muettes sur les auteurs de ces agressions contre la liberté de presse ». Car, indique le communiqué, aucun des forfaits commis contre la liberté de presse n’a aussi fait l’objet de poursuites devant les tribunaux.
Bassirou MBAYE
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
