En effet, selon la Direction de la prévision et études économiques (Dpee) qui donne ces chiffres, l’accroissement des rendements rizicoles de 6,2%, entre les deux campagnes, n’a que partiellement compensé la baisse de 6,5% des superficies cultivées.
Cette situation, dit-elle dans la foulée, est principalement imputable à la composante pluviale qui a été particulièrement touchée par le démarrage tardif de l’hivernage. « Par contre, la production irriguée (principalement dans la vallée du fleuve Sénégal et au niveau de l’Anambé) s’est légèrement accrue de 0,1% en 2019 », note la Dpee.
A l’en croire, cette évolution de la riziculture irriguée reflète l’amélioration des rendements, à la faveur d’une mise à disposition, en quantité suffisante, d’intrants et de matériels agricoles et de l’octroi de financements importants aux petits producteurs par les grands riziers.
Bassirou MBAYE
Cette situation, dit-elle dans la foulée, est principalement imputable à la composante pluviale qui a été particulièrement touchée par le démarrage tardif de l’hivernage. « Par contre, la production irriguée (principalement dans la vallée du fleuve Sénégal et au niveau de l’Anambé) s’est légèrement accrue de 0,1% en 2019 », note la Dpee.
A l’en croire, cette évolution de la riziculture irriguée reflète l’amélioration des rendements, à la faveur d’une mise à disposition, en quantité suffisante, d’intrants et de matériels agricoles et de l’octroi de financements importants aux petits producteurs par les grands riziers.
Bassirou MBAYE