Il a expliqué que le plan repose sur quatre piliers à savoir mobilisation des ressources domestiques (2 111 milliards FCFA), recyclage d’actifs publics sans privatisation (1 091 milliards), réduction du train de vie de l’État (50 milliards), et financements endogènes (1 352 milliards).
Pour les financements endogènes, le Premier ministre souligne la présence d’une ligne de renforcement de la collecte des dividendes publiques où il est attendu 27 milliards de Fcfa. « L’Etat a été assez négligent dans le suivi de son portefeuille et de la collecte des dividendes dans toutes ses participations. Dans le secteur minier par exemple où on a minimum 10, 15, 20% de participation souvent », a précisé Ousmane Sonko.
Sur la renégociation des contrats stratégiques, il informe que le gouvernement se projette sur un montant de 884 milliards de FCfa. Le travail, a-t-il expliqué, consiste à corriger les déséquilibres constatés dans les conventions minières, pétrolières et industrielles telles que les cimenteries.
L’épargne nationale et celle de la diaspora seront également mises à contribution grâce à la mise en place de véhicules d’investissement. « Il ne s’agit pas de dire aux gens de donner leur argent de manière philanthropique mais de les intéresser à un certain nombre de projets structurants sur lesquels ils peuvent investir avec retour d’investissement. Nous nous projetons sur 135 milliards », a fait savoir le chef du gouvernement. Il renseigne que 300 milliards sont également attendus sur le déploiement des financements participatifs et solidaires (Waqf, les plateformes de crowdfunding).
Pour les actifs détenus par la Sogepa, et qui peuvent être utilisés comme effet de levier, il est attendu selon Ousmane Sonko, un montant de 341 milliards. Concernant la réduction du train de vie de l’Etat, il a expliqué que sur la dizaine de mesures annoncées, une seule est évaluée. Il s’agit de la mesure portant sur la restructuration du secteur parapublic à travers la suppression et la fusion d’agences pouvant rapporter 50 milliards.
Adou FAYE
Pour les financements endogènes, le Premier ministre souligne la présence d’une ligne de renforcement de la collecte des dividendes publiques où il est attendu 27 milliards de Fcfa. « L’Etat a été assez négligent dans le suivi de son portefeuille et de la collecte des dividendes dans toutes ses participations. Dans le secteur minier par exemple où on a minimum 10, 15, 20% de participation souvent », a précisé Ousmane Sonko.
Sur la renégociation des contrats stratégiques, il informe que le gouvernement se projette sur un montant de 884 milliards de FCfa. Le travail, a-t-il expliqué, consiste à corriger les déséquilibres constatés dans les conventions minières, pétrolières et industrielles telles que les cimenteries.
L’épargne nationale et celle de la diaspora seront également mises à contribution grâce à la mise en place de véhicules d’investissement. « Il ne s’agit pas de dire aux gens de donner leur argent de manière philanthropique mais de les intéresser à un certain nombre de projets structurants sur lesquels ils peuvent investir avec retour d’investissement. Nous nous projetons sur 135 milliards », a fait savoir le chef du gouvernement. Il renseigne que 300 milliards sont également attendus sur le déploiement des financements participatifs et solidaires (Waqf, les plateformes de crowdfunding).
Pour les actifs détenus par la Sogepa, et qui peuvent être utilisés comme effet de levier, il est attendu selon Ousmane Sonko, un montant de 341 milliards. Concernant la réduction du train de vie de l’Etat, il a expliqué que sur la dizaine de mesures annoncées, une seule est évaluée. Il s’agit de la mesure portant sur la restructuration du secteur parapublic à travers la suppression et la fusion d’agences pouvant rapporter 50 milliards.
Adou FAYE