C’est ainsi, dit la Dpee, que depuis plus d’une décennie, le pays a expérimenté la mise en place des cadres de dépenses à moyen terme (Cdmt) et de dépenses sectorielles à moyen terme (Cdsmt) notamment au sein des ministères de la santé et de l’éducation. L’étape ultime de ce long processus de réformes est, souligne-t-elle, l’entrée en vigueur en janvier dernier des budgets de programmes pour une meilleure productivité et répartition des dépenses publiques.
Cependant, pour la Dpee, malgré tous ces outils de programmation budgétaire qui permettraient une meilleure gestion des ressources, les autorités publiques devraient aussi disposer d’un instrument supplémentaire qui augmenterait sensiblement la rentabilité économique des investissements publics. Par conséquent elle a élaboré un document de recherche intitulé « Structure des investissements publics au Sénégal » qui, soutient-elle, s’inscrit dans ce contexte et ambitionne de définir un mécanisme optimal de répartition sectorielle des investissements de l’Etat.
Ainsi, la structure explique qu’il s’agira de déterminer l’allocation des investissements de l’Etat qui maximise l’impact des dépenses publiques sur le niveau d’activité à travers le Pib, tout en favorisant la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales. Les simulations permettront également de prendre en compte les implications sur les autres agrégats macroéconomiques tels que la consommation et l’investissement privé.
Bassirou MBAYE
Cependant, pour la Dpee, malgré tous ces outils de programmation budgétaire qui permettraient une meilleure gestion des ressources, les autorités publiques devraient aussi disposer d’un instrument supplémentaire qui augmenterait sensiblement la rentabilité économique des investissements publics. Par conséquent elle a élaboré un document de recherche intitulé « Structure des investissements publics au Sénégal » qui, soutient-elle, s’inscrit dans ce contexte et ambitionne de définir un mécanisme optimal de répartition sectorielle des investissements de l’Etat.
Ainsi, la structure explique qu’il s’agira de déterminer l’allocation des investissements de l’Etat qui maximise l’impact des dépenses publiques sur le niveau d’activité à travers le Pib, tout en favorisant la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales. Les simulations permettront également de prendre en compte les implications sur les autres agrégats macroéconomiques tels que la consommation et l’investissement privé.
Bassirou MBAYE