Pour justifier la notation et la perspective, Bloomfield avance, sur le long terme, la qualité de crédit la plus élevée. Selon l’agence, « les facteurs de risque sont négligeables, étant légèrement supérieurs à ceux des obligations d’Etat sans risque. »
Sur le court terme, Bloomfield a mis en exergue, la certitude de remboursement en temps opportun très élevée. Elle ajoute que les facteurs de liquidité sont excellents et soutenus par de bons facteurs de protection des éléments essentiels. De l’avis toujours de Bloomfield, les facteurs de risque sont mineurs.
La notation est basée sur les facteurs positifs suivants : une progression continue des indicateurs de performance ; une exécution satisfaisante du Plan Stratégique en 2024 ; le maintien d’une bonne flexibilité de financement ; un positionnement de leader réaffirmé sur un secteur compétitif, malgré un recul des parts de marché.
Selon l’équipe de notation de Bloomfield, les principaux facteurs de fragilité de la qualité de crédit sont les suivants : une augmentation du coût du risque ; le maintien d’une politique monétaire restrictive en zone UMOA, dans l’optique de juguler l’inflation en 2024 ; un dispositif de contrôle interne à consolider, pour une amélioration de la gestion des risques opérationnels ; un climat socio-politique stable mais fragile.
Oumar Nourou
Sur le court terme, Bloomfield a mis en exergue, la certitude de remboursement en temps opportun très élevée. Elle ajoute que les facteurs de liquidité sont excellents et soutenus par de bons facteurs de protection des éléments essentiels. De l’avis toujours de Bloomfield, les facteurs de risque sont mineurs.
La notation est basée sur les facteurs positifs suivants : une progression continue des indicateurs de performance ; une exécution satisfaisante du Plan Stratégique en 2024 ; le maintien d’une bonne flexibilité de financement ; un positionnement de leader réaffirmé sur un secteur compétitif, malgré un recul des parts de marché.
Selon l’équipe de notation de Bloomfield, les principaux facteurs de fragilité de la qualité de crédit sont les suivants : une augmentation du coût du risque ; le maintien d’une politique monétaire restrictive en zone UMOA, dans l’optique de juguler l’inflation en 2024 ; un dispositif de contrôle interne à consolider, pour une amélioration de la gestion des risques opérationnels ; un climat socio-politique stable mais fragile.
Oumar Nourou