chroniques
Une meilleure implication dans la mise en œuvre des politiques publiques. C’est le souhait de la Fédération nationale des associations d’écoles coraniques du Sénégal. Les délégués de cette structure prenaient part hier à une rencontre de partage et de sensibilisation sur le bilan de la première phase de la mise en œuvre du Pse. La rencontre a été rehaussée par la présence du ministre en charge du Suivi du Pse. « Le Pse vise l’émergence en 2035. Il va au-delà du mandat du président Macky Sall. C’est pourquoi, nous travaillons avec le gouvernement. Nous sommes contre personne. C’est le Sénégal qui nous intéresse et non la politique politicienne », a déclaré Moustapha Lo, le président de la fédération qui demande leur implication dans la politique du gouvernement.
« Nous voulons être impliqué dans la mise en œuvre de la politique gouvernementale. Lors des concertations nationales sur le pétrole et le gaz, nous n’avons pas été conviés alors que couvrons tout le pays », a ajouté M. Lo. Le chargé des relations extérieures de la fédération abonde dans le même sens.
« Celui qui veut bâtir un Sénégal émergent, doit s’appuyer sur notre fédération qui a des représentants dans tout le pays. Celui qui aide les écoles coraniques, contribue au développement », a souligné El Hadj Oumar Seck. Ce dernier a profité de cette tribune pour demander des semences, intrants et matériels agricoles. « Qu’on ne nous oublie pas dans la distribution des intrants, matériels agricoles. Nous voulons des tracteurs et une formation afin que nous puissions contribuer à l’autosuffisance alimentaire », a noté M. Seck.
Présidant la rencontre, Cheikh Kanté, ministre en charge du suivi du Pse est revenu sur le bilan de cette première phase du Pse qu’il juge élogieux. Il a notamment donné en exemple les résultats dans le secteur de l’électricité avec la production de 1100 mégawatts en 2017 alors qu’avant 2012, notre pays été confronté à d’énormes problèmes.
Concernant l’électrification rurale, M. Kanté affirme que de l’indépendance à 2012, seuls 1649 villages étaient électrifiés. Entre 2013 et 2017, ce sont 2200 villages qui ont été électrifiés. M. Kanté poursuit que les secteurs de l’éducation, la santé, les infrastructures ont connu également des progrès considérables durant le magistère du président Macky Sall.
Adou Faye
« Nous voulons être impliqué dans la mise en œuvre de la politique gouvernementale. Lors des concertations nationales sur le pétrole et le gaz, nous n’avons pas été conviés alors que couvrons tout le pays », a ajouté M. Lo. Le chargé des relations extérieures de la fédération abonde dans le même sens.
« Celui qui veut bâtir un Sénégal émergent, doit s’appuyer sur notre fédération qui a des représentants dans tout le pays. Celui qui aide les écoles coraniques, contribue au développement », a souligné El Hadj Oumar Seck. Ce dernier a profité de cette tribune pour demander des semences, intrants et matériels agricoles. « Qu’on ne nous oublie pas dans la distribution des intrants, matériels agricoles. Nous voulons des tracteurs et une formation afin que nous puissions contribuer à l’autosuffisance alimentaire », a noté M. Seck.
Présidant la rencontre, Cheikh Kanté, ministre en charge du suivi du Pse est revenu sur le bilan de cette première phase du Pse qu’il juge élogieux. Il a notamment donné en exemple les résultats dans le secteur de l’électricité avec la production de 1100 mégawatts en 2017 alors qu’avant 2012, notre pays été confronté à d’énormes problèmes.
Concernant l’électrification rurale, M. Kanté affirme que de l’indépendance à 2012, seuls 1649 villages étaient électrifiés. Entre 2013 et 2017, ce sont 2200 villages qui ont été électrifiés. M. Kanté poursuit que les secteurs de l’éducation, la santé, les infrastructures ont connu également des progrès considérables durant le magistère du président Macky Sall.
Adou Faye
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