
Selon les dernières statistiques officielles, rendues publiques par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), le taux d’activité s’est établi à 56,5%, enregistrant un recul de 1,1 point de pourcentage par rapport à la même période de 2024 (57,6%).
Cette contraction touche principalement les jeunes, dont le niveau de participation reste limité à 48,2%, bien en dessous de celui des adultes (69%). La fracture de genre demeure également marquée : les hommes participent davantage que les femmes, aussi bien en zone urbaine (65,4% contre 46,4%) qu’en milieu rural (68,3% contre 47,7%).
Le rapport met également en évidence une disparité géographique : la participation est légèrement plus élevée en milieu rural (57,5%) qu’en zone urbaine (55,8%).
Ces chiffres traduisent les défis persistants de l’emploi au Sénégal, notamment pour les jeunes et les femmes, dans un contexte où la dynamique économique peine encore à absorber une main-d’œuvre en constante progression.
Bassirou MBAYE
Cette contraction touche principalement les jeunes, dont le niveau de participation reste limité à 48,2%, bien en dessous de celui des adultes (69%). La fracture de genre demeure également marquée : les hommes participent davantage que les femmes, aussi bien en zone urbaine (65,4% contre 46,4%) qu’en milieu rural (68,3% contre 47,7%).
Le rapport met également en évidence une disparité géographique : la participation est légèrement plus élevée en milieu rural (57,5%) qu’en zone urbaine (55,8%).
Ces chiffres traduisent les défis persistants de l’emploi au Sénégal, notamment pour les jeunes et les femmes, dans un contexte où la dynamique économique peine encore à absorber une main-d’œuvre en constante progression.
Bassirou MBAYE