chroniques
Adama Coulibaly, nouveau directeur général du Giaba
''L’une des caractéristiques communes à ces pays (CEDEAO), c’est leur grande vulnérabilité aux trafics illicites et criminels de drogue, d’armes et de munitions, de migrants et leur faible capacité à lutter efficacement contre la contrebande, la contrefaçon, les fraudes douanières et fiscales, etc.’’, a-t-il dit.
Le DG du GIABA s’exprimait à l’ouverture d’un un atelier national de formation sur la détection, le démantèlement et l’investigation du blanchiment de capitaux/financement du terrorisme (BC/FT), à l’intention des agences de répression criminelle.
Selon Adama Coulibaly, le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme constituent aujourd’hui de ‘’graves menaces’’ pour les Etats tant pour les systèmes économiques et financiers que pour leur ‘’sécurité et stabilité’’.
Il a indiqué que face à ces défis majeurs et en sa qualité d’organisme de style GAFI, le GIABA ''ne ménagera aucun effort pour faire la promotion et de la vulgarisation des normes internationales du GAFI en matière de LCB /FT auprès des Etats membres''.
Il a affirmé qu'une ''priorité de premier ordre'' devrait être de mise, en vue du renforcement des dispositifs nationaux de lutte et surtout leur plus grande conformité aux normes et standards internationaux.
Adama Coulibaly a dit que, dans le cadre de l’assistance aux Etats membres, la GIABA a entamé une série de programmes de sensibilisation et de formation au profit des autorités opérationnelles, dans le but de créer des conditions les plus favorables à l’amélioration de l’environnement des affaires dans la région.
''Notre engagement est de poursuivre ces efforts au profit des CRF (Cellules de renseignement financer) de toutes les structures impliquées dans la LBC/FT pour que le GIABA soit non seulement un outil de renforcement de la sécurité et de l’intégration régionale, mais également un réel levier de soutien de coopération internationale ainsi que la promotion de la bonne gouvernance, de la valorisation de la croissance et du développement durable des Etats de la CEDEAO’’, a précisé Adama Coulibaly.
APS
Le DG du GIABA s’exprimait à l’ouverture d’un un atelier national de formation sur la détection, le démantèlement et l’investigation du blanchiment de capitaux/financement du terrorisme (BC/FT), à l’intention des agences de répression criminelle.
Selon Adama Coulibaly, le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme constituent aujourd’hui de ‘’graves menaces’’ pour les Etats tant pour les systèmes économiques et financiers que pour leur ‘’sécurité et stabilité’’.
Il a indiqué que face à ces défis majeurs et en sa qualité d’organisme de style GAFI, le GIABA ''ne ménagera aucun effort pour faire la promotion et de la vulgarisation des normes internationales du GAFI en matière de LCB /FT auprès des Etats membres''.
Il a affirmé qu'une ''priorité de premier ordre'' devrait être de mise, en vue du renforcement des dispositifs nationaux de lutte et surtout leur plus grande conformité aux normes et standards internationaux.
Adama Coulibaly a dit que, dans le cadre de l’assistance aux Etats membres, la GIABA a entamé une série de programmes de sensibilisation et de formation au profit des autorités opérationnelles, dans le but de créer des conditions les plus favorables à l’amélioration de l’environnement des affaires dans la région.
''Notre engagement est de poursuivre ces efforts au profit des CRF (Cellules de renseignement financer) de toutes les structures impliquées dans la LBC/FT pour que le GIABA soit non seulement un outil de renforcement de la sécurité et de l’intégration régionale, mais également un réel levier de soutien de coopération internationale ainsi que la promotion de la bonne gouvernance, de la valorisation de la croissance et du développement durable des Etats de la CEDEAO’’, a précisé Adama Coulibaly.
APS
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