M. Ledoux animait une conférence sur le thème « l’entrepreneuriat social : une alternative pour le développement économique et social en Afrique ». Cette conférence entre dans le cadre des Samedis de l’économie, une rencontre mensuelle organisé par le bureau régional de la l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Rosa Luxemburg et l’ONG ARCADE.
« L’entrepreneuriat social radical (ESR) est une entreprise qui produit des biens et services à but lucratif » souligne M. Ledoux. Il ajoute qu’il est radical par les avancées sociales qu’il peut faire à travers la création de richesses, l’autosuffisance économique, la justice sociale. « L’ESR, estime-t-il, produit un développement économique souverain et endogène au service des besoins réels du peuple. Il contribue à un accroissement du bien être matériel et de la quiétude psychologique du peuple ». Pour le DG des Nouvelles éditions numériques africaines, la vision du plan d’affaire de l’ESR doit reposer sur la durabilité. « L’ESR a vocation à investir dans tout secteur sauf ceux qui sont illicites », affirme-t-il. Quant aux offres, il s’agit de biens et services à forte utilité sociale (prééminence de la valeur d’usage réelle), innovants et bénéfique pour l’environnement. Les matières premières et fournitures de l’ESR sont en priorité des intrants locaux alors les technologies sont locales ou adaptées et créatrices d’emplois. Selon toujours M. Ledoux, l’ESR est une entreprise formalisée et non informelle. « Au niveau des ressources humaines, l’ESR applique un écart maximal de rémunérations avec un intéressement du personnel aux bénéfices, des conditions de travail justes (formation, santé, sécurité sociale) », affirme le conférencier. Selon lui, les principes de l’ESR sont dans le coran et les hadiths (paroles du prophète Mouhamed PSL).
Le mot d’ordre de l’ESR selon M. Ledoux est « penser universellement, dialectiquement et stratégiquement et agir localement, socialement et éthiquement ».
El Hadj Diakhaté
« L’entrepreneuriat social radical (ESR) est une entreprise qui produit des biens et services à but lucratif » souligne M. Ledoux. Il ajoute qu’il est radical par les avancées sociales qu’il peut faire à travers la création de richesses, l’autosuffisance économique, la justice sociale. « L’ESR, estime-t-il, produit un développement économique souverain et endogène au service des besoins réels du peuple. Il contribue à un accroissement du bien être matériel et de la quiétude psychologique du peuple ». Pour le DG des Nouvelles éditions numériques africaines, la vision du plan d’affaire de l’ESR doit reposer sur la durabilité. « L’ESR a vocation à investir dans tout secteur sauf ceux qui sont illicites », affirme-t-il. Quant aux offres, il s’agit de biens et services à forte utilité sociale (prééminence de la valeur d’usage réelle), innovants et bénéfique pour l’environnement. Les matières premières et fournitures de l’ESR sont en priorité des intrants locaux alors les technologies sont locales ou adaptées et créatrices d’emplois. Selon toujours M. Ledoux, l’ESR est une entreprise formalisée et non informelle. « Au niveau des ressources humaines, l’ESR applique un écart maximal de rémunérations avec un intéressement du personnel aux bénéfices, des conditions de travail justes (formation, santé, sécurité sociale) », affirme le conférencier. Selon lui, les principes de l’ESR sont dans le coran et les hadiths (paroles du prophète Mouhamed PSL).
Le mot d’ordre de l’ESR selon M. Ledoux est « penser universellement, dialectiquement et stratégiquement et agir localement, socialement et éthiquement ».
El Hadj Diakhaté