Selon le document, cependant, bien que 96 % de la population mondiale vive dans des zones où l'internet mobile est disponible, 3,1 milliards de personnes ne l'utilisent toujours pas. Ces personnes, qui représentent 38 % de la population mondiale, se trouvent dans ce que l'on appelle l’Usage Gap, ou fossé d'utilisation, des obstacles autres que la disponibilité de la couverture les empêchant d'être en ligne.
En outre, renseigne la même source, 300 millions de personnes (4 % de la population mondiale) vivent dans ce que l'on appelle le « Coverage Gap », ou fossé de couverture, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas accès à l'internet mobile.
Cela signifie que 3,4 milliards de personnes dans le monde sont restées non connectées à l'internet mobile en 2024. L'écrasante majorité d'entre elles vivent dans des zones où une couverture est disponible, mais elles ne peuvent ou ne veulent pas l'utiliser.
La téléphonie mobile reste le principal, et dans de nombreux cas le seul, moyen d'accès à l'internet dans les pays à revenu faible et intermédiaire (Prfi), et représente aujourd'hui 84 % des connexions internet dans le monde. La grande majorité (93 %) des personnes non connectées vivent dans les Prfi.
Dans les Prfi, précise-t-on, le coût d'un appareil d'entrée de gamme connecté à internet est resté relativement inchangé depuis 2021 et représente 16 % du revenu mensuel moyen, et 48 % pour les 20 % les plus pauvres.
Vivek Badrinath, directeur général de la Gsma, commente : « Un appareil à 30 dollars pourrait rendre les téléphones abordables pour jusqu'à 1,6 milliard de personnes qui n'ont actuellement pas les moyens de se connecter à l'internet mobile disponible ».
Pour y parvenir, a-t-il dit, il faudra un effort concerté et collaboratif entre l'industrie mobile, les fabricants d'appareils, les décideurs politiques, les institutions financières et bien d'autres, mais c'est une responsabilité que nous devons tous assumer.
«L'accès à l'internet présente des avantages socio-économiques indéniables pour les individus et les sociétés. Les services essentiels tels que les soins de santé, l'éducation et les services bancaires sont désormais le plus souvent accessibles en ligne, et pour des milliards de personnes, cela signifie principalement sur mobile », a déclaré le directeur général de Gsma.
Adou Faye
En outre, renseigne la même source, 300 millions de personnes (4 % de la population mondiale) vivent dans ce que l'on appelle le « Coverage Gap », ou fossé de couverture, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas accès à l'internet mobile.
Cela signifie que 3,4 milliards de personnes dans le monde sont restées non connectées à l'internet mobile en 2024. L'écrasante majorité d'entre elles vivent dans des zones où une couverture est disponible, mais elles ne peuvent ou ne veulent pas l'utiliser.
La téléphonie mobile reste le principal, et dans de nombreux cas le seul, moyen d'accès à l'internet dans les pays à revenu faible et intermédiaire (Prfi), et représente aujourd'hui 84 % des connexions internet dans le monde. La grande majorité (93 %) des personnes non connectées vivent dans les Prfi.
Dans les Prfi, précise-t-on, le coût d'un appareil d'entrée de gamme connecté à internet est resté relativement inchangé depuis 2021 et représente 16 % du revenu mensuel moyen, et 48 % pour les 20 % les plus pauvres.
Vivek Badrinath, directeur général de la Gsma, commente : « Un appareil à 30 dollars pourrait rendre les téléphones abordables pour jusqu'à 1,6 milliard de personnes qui n'ont actuellement pas les moyens de se connecter à l'internet mobile disponible ».
Pour y parvenir, a-t-il dit, il faudra un effort concerté et collaboratif entre l'industrie mobile, les fabricants d'appareils, les décideurs politiques, les institutions financières et bien d'autres, mais c'est une responsabilité que nous devons tous assumer.
«L'accès à l'internet présente des avantages socio-économiques indéniables pour les individus et les sociétés. Les services essentiels tels que les soins de santé, l'éducation et les services bancaires sont désormais le plus souvent accessibles en ligne, et pour des milliards de personnes, cela signifie principalement sur mobile », a déclaré le directeur général de Gsma.
Adou Faye