Selon toujours elle, la disparité numérique liée au genre a toutefois des justifications autres que les capacités intellectuelles des jeunes filles. En effet, loin de souffrir d’un quelconque handicap technologique, les femmes et les jeunes filles, dans leur vie quotidienne ou scolaire, sont des utilisatrices aussi averties que leurs homologues masculins.
«Néanmoins, elles restent particulièrement minoritaires dans les métiers scientifiques et notamment des TIC. Elles sont donc souvent absentes des centres de décisions stratégiques dudit secteur», indique-t-elle.
La célébration de la journée internationale a pour thème : «l’accès des jeunes et des femmes au secteur des TIC, priorité nationale pour la diversification de l’économie et la création d’emplois pour un développement durable». Elle est une exhortation à l’accès, au maintien et la réussite des jeunes filles et jeunes femmes dans ce secteur d’avenir.
Dès lors, ajoute Gnagna Diop Sow, il importe d’explorer les voies et moyens d’y arriver, grâce à des formations de qualité. C’est là, l’engagement que chacune d’entre nous doit prendre personnellement, dans la construction de son avenir et de son épanouissement futur.
Par ailleurs, les objectifs du PSE prévoient la création et le développement d’universités virtuelles, avec des espaces numériques ouverts, un réseau d’Instituts supérieurs d’Enseignement Professionnel (ISEP) et des Centres de recherche et d’essai dans les régions.
«Raison pour laquelle, j’encourage vivement les jeunes filles et élèves ici présentes, à s’inspirer de l’exemple et de l’expérience des femmes ingénieurs informaticiennes de la DTAI, en choisissant si possible, les séries scientifiques afin d’envisager, des études supérieures dans le domaine des TIC. Ces études offrent assurément des perspectives certaines, car utiles à tous les métiers», ajoute la conseillère technique au ministère des finances.
Pathé TOURE
«Néanmoins, elles restent particulièrement minoritaires dans les métiers scientifiques et notamment des TIC. Elles sont donc souvent absentes des centres de décisions stratégiques dudit secteur», indique-t-elle.
La célébration de la journée internationale a pour thème : «l’accès des jeunes et des femmes au secteur des TIC, priorité nationale pour la diversification de l’économie et la création d’emplois pour un développement durable». Elle est une exhortation à l’accès, au maintien et la réussite des jeunes filles et jeunes femmes dans ce secteur d’avenir.
Dès lors, ajoute Gnagna Diop Sow, il importe d’explorer les voies et moyens d’y arriver, grâce à des formations de qualité. C’est là, l’engagement que chacune d’entre nous doit prendre personnellement, dans la construction de son avenir et de son épanouissement futur.
Par ailleurs, les objectifs du PSE prévoient la création et le développement d’universités virtuelles, avec des espaces numériques ouverts, un réseau d’Instituts supérieurs d’Enseignement Professionnel (ISEP) et des Centres de recherche et d’essai dans les régions.
«Raison pour laquelle, j’encourage vivement les jeunes filles et élèves ici présentes, à s’inspirer de l’exemple et de l’expérience des femmes ingénieurs informaticiennes de la DTAI, en choisissant si possible, les séries scientifiques afin d’envisager, des études supérieures dans le domaine des TIC. Ces études offrent assurément des perspectives certaines, car utiles à tous les métiers», ajoute la conseillère technique au ministère des finances.
Pathé TOURE