L’Assemblée nationale, à travers le Réseau des parlementaires pour la protection de l’environnement au Sénégal (Repes), semble montrer sa préoccupation quant à la mise en œuvre transparente et efficiente des politiques publiques. En effet, le Repes, « grâce à un accompagnement technique et financier de l’Ipar », a subi une formation sur les techniques et outils d’évaluation des politiques environnementales. Ceci, selon les acteurs, est motivé par le fait que « l’amélioration des connaissances de l’environnement et des ressources naturelles exige, au plan technique, une prise en charge à tous les niveaux des outils d’évaluation ».
De plus en plus, les parlementaires disent reconnaitre que leurs missions deviennent très complexes au moment où l’on note des découvertes importantes de pétrole et de gaz au Sénégal. Par conséquent, avouent-ils, la représentation nationale est amenée à jouer un rôle important en matière d’évaluation des politiques publiques conformément à l’article 59 de la Constitution qui permet à l’hémicycle d’être informé sur l’état de mise en œuvre de ces politiques en procédant à leur évaluation.
« Les députés ont un rôle qui consiste à évaluer les politiques publiques et cela ne veut pas dire des règlements de comptes mais une évaluation est un outil extrêmement important d’orientation de l’action politique qui permet de la réajuster pour ainsi faciliter l’atteinte des objectifs fixés », explique le directeur exécutif de l’Ipar. Cheikh Oumar Ba précise en effet, que l’évaluation doit être fondée sur des évidences. C’est-à-dire, d’après lui, elle doit s’interroger sur les ressources mises sur telle ou telle politique, mais également, son efficacité et son efficience par rapport à l’atteinte des objectifs.
Pour sa part, le président du Repes rappelle que lors du denier référendum de mars 2016, il a été inclus parmi les missions des parlementaires, l’évaluation des politiques publiques. Pour Ibrahima Sall, cela suppose l’acquisition de techniques et d’outils d’évaluation et les a amenés à solliciter l’expertise de la structure scientifique qu’est l’Ipar. Il indique dans la foulée que cette formation les permettra de mener leurs missions à bien avant de souligner l’importance de recevoir, des différents départements ministériels, en guise de base, « un document stratégique sur leurs politiques publiques ».
Bassirou MBAYE
De plus en plus, les parlementaires disent reconnaitre que leurs missions deviennent très complexes au moment où l’on note des découvertes importantes de pétrole et de gaz au Sénégal. Par conséquent, avouent-ils, la représentation nationale est amenée à jouer un rôle important en matière d’évaluation des politiques publiques conformément à l’article 59 de la Constitution qui permet à l’hémicycle d’être informé sur l’état de mise en œuvre de ces politiques en procédant à leur évaluation.
« Les députés ont un rôle qui consiste à évaluer les politiques publiques et cela ne veut pas dire des règlements de comptes mais une évaluation est un outil extrêmement important d’orientation de l’action politique qui permet de la réajuster pour ainsi faciliter l’atteinte des objectifs fixés », explique le directeur exécutif de l’Ipar. Cheikh Oumar Ba précise en effet, que l’évaluation doit être fondée sur des évidences. C’est-à-dire, d’après lui, elle doit s’interroger sur les ressources mises sur telle ou telle politique, mais également, son efficacité et son efficience par rapport à l’atteinte des objectifs.
Pour sa part, le président du Repes rappelle que lors du denier référendum de mars 2016, il a été inclus parmi les missions des parlementaires, l’évaluation des politiques publiques. Pour Ibrahima Sall, cela suppose l’acquisition de techniques et d’outils d’évaluation et les a amenés à solliciter l’expertise de la structure scientifique qu’est l’Ipar. Il indique dans la foulée que cette formation les permettra de mener leurs missions à bien avant de souligner l’importance de recevoir, des différents départements ministériels, en guise de base, « un document stratégique sur leurs politiques publiques ».
Bassirou MBAYE