Derrière ce secteur dominant, le primaire a concentré 26,0% des actifs occupés, tandis que le secondaire a représenté 19,7% de la main-d’œuvre.
Dans le tertiaire, les activités de commerce et de réparation se distinguent particulièrement. Elles regroupent à elles seules 43,6% des travailleurs du secteur et près d’un quart de l’ensemble des actifs occupés (23,7%).
Cependant, si le poids du tertiaire témoigne du dynamisme des services et du commerce, il serait important de rééquilibrer la structure de l’emploi en renforçant le primaire et le secondaire.
Un investissement accru dans le primaire (agriculture, pêche, élevage) permettrait de mieux répondre aux besoins alimentaires et d’assurer une sécurité durable.
Le secondaire, à travers l’industrie et la transformation, apparaît quant à lui essentiel pour créer de la valeur ajoutée, diversifier l’économie et réduire la dépendance aux importations.
Cette orientation est d’autant plus stratégique qu’elle favoriserait l’industrialisation, moteur de création d’emplois stables et qualifiés, tout en valorisant les ressources locales.
Le défi pour les prochaines années reste donc de trouver un équilibre entre un tertiaire dynamique et des secteurs productifs suffisamment solides pour soutenir une croissance inclusive et durable.
Bassirou MBAYE
Dans le tertiaire, les activités de commerce et de réparation se distinguent particulièrement. Elles regroupent à elles seules 43,6% des travailleurs du secteur et près d’un quart de l’ensemble des actifs occupés (23,7%).
Cependant, si le poids du tertiaire témoigne du dynamisme des services et du commerce, il serait important de rééquilibrer la structure de l’emploi en renforçant le primaire et le secondaire.
Un investissement accru dans le primaire (agriculture, pêche, élevage) permettrait de mieux répondre aux besoins alimentaires et d’assurer une sécurité durable.
Le secondaire, à travers l’industrie et la transformation, apparaît quant à lui essentiel pour créer de la valeur ajoutée, diversifier l’économie et réduire la dépendance aux importations.
Cette orientation est d’autant plus stratégique qu’elle favoriserait l’industrialisation, moteur de création d’emplois stables et qualifiés, tout en valorisant les ressources locales.
Le défi pour les prochaines années reste donc de trouver un équilibre entre un tertiaire dynamique et des secteurs productifs suffisamment solides pour soutenir une croissance inclusive et durable.
Bassirou MBAYE