Sur une base annuelle, le climat des affaires s’est dégradé de 1,6 point, en février 2020. «Dans l’industrie, l’insuffisance de la demande (35%), la concurrence supposée déloyale (29%) et les difficultés de recouvrement des créances (26%) ont majoritairement constitué les principales contraintes à l’activité. Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré dans le sous-secteur, en rythme mensuel. En effet, les industriels sont plus nombreux en février qu’en janvier à indiquer une progression des commandes reçues. Concernant les stocks de produits finis, les soldes d’opinion sont restés quasi stables en rythme mensuel », renseigne la Dpee.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, la Dpee ajoute que les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont la concurrence supposée déloyale (100%), les difficultés de recouvrement des créances (80%), la fiscalité (60%) et l’insuffisance de la demande (40%). Au total, explique la Dpee, le climat des affaires s’est tassé dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec la détérioration des soldes d’opinion relatifs aux commandes publiques. Le pessimisme des enquêtés quant aux perspectives de commandes publiques a, aussi, participé au repli de l’indicateur du sous-secteur.
Au titre du sous-secteur des services, la Dpee souligne que les interrogés ont majoritairement évoqué la concurrence jugée déloyale (62%), les difficultés de recouvrement des créances (62%) et la fiscalité (31%) comme les principales entraves à l’activité, en février 2020. Par ailleurs, l’indicateur du climat des affaires dans le sous-secteur est ressorti en dessous de sa moyenne de longue période, en liaison avec les soldes d’opinion relatifs aux chiffres d’affaires, tarifs pratiqués et perspectives de chiffres d’affaires.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (100%), l’approvisionnement difficile en marchandises (43%), la fiscalité (43%) et l’insuffisance de la demande (43%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en février 2020. Par ailleurs, le climat des affaires s’est détérioré en rythme mensuel, sous l’effet des orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs aux chiffres d’affaire, commandes ainsi qu’aux perspectives de chiffre d’affaires et commandes.
Adou FAYE
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, la Dpee ajoute que les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont la concurrence supposée déloyale (100%), les difficultés de recouvrement des créances (80%), la fiscalité (60%) et l’insuffisance de la demande (40%). Au total, explique la Dpee, le climat des affaires s’est tassé dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec la détérioration des soldes d’opinion relatifs aux commandes publiques. Le pessimisme des enquêtés quant aux perspectives de commandes publiques a, aussi, participé au repli de l’indicateur du sous-secteur.
Au titre du sous-secteur des services, la Dpee souligne que les interrogés ont majoritairement évoqué la concurrence jugée déloyale (62%), les difficultés de recouvrement des créances (62%) et la fiscalité (31%) comme les principales entraves à l’activité, en février 2020. Par ailleurs, l’indicateur du climat des affaires dans le sous-secteur est ressorti en dessous de sa moyenne de longue période, en liaison avec les soldes d’opinion relatifs aux chiffres d’affaires, tarifs pratiqués et perspectives de chiffres d’affaires.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (100%), l’approvisionnement difficile en marchandises (43%), la fiscalité (43%) et l’insuffisance de la demande (43%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en février 2020. Par ailleurs, le climat des affaires s’est détérioré en rythme mensuel, sous l’effet des orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs aux chiffres d’affaire, commandes ainsi qu’aux perspectives de chiffre d’affaires et commandes.
Adou FAYE