chroniques
''Le manque de fiabilité énergétique coûte aux économies ouest africaines 2% de croissance annuelle'', précise une étude du Centre des énergies renouvelables pour l’efficacité énergétique du Programme des nations unies pour l’environnement (PNUE).
La validation de ce document sur la stratégie régionale sur l’éclairage efficace est au cœur d’un atelier ouvert lundi à Dakar.
L'étude estime que le passage à un éclairage plus efficace permettra de réduire considérablement les charges de pointe dans les pays de la CEDEAO et de limiter les coupures électriques qui peuvent conduire à ''une réduction de l’activité économique, restreindre l’investissement et également être politiquement dommageables''.
Cependant, indique la même source, des technologies d’éclairage fiables, abordables et rentables existent et peuvent apporter des avantages aux utilisateurs dans les secteurs résidentiel et tertiaire.
Il s’agit des lampes fluorescentes compactes de qualité qui offrent jusqu’à 80% d’économie d’énergie par rapport aux lampes à incandescence qui peuvent durer 20 ans ou plus pour un usage standard de 3 heures par jour.
Le document fait état d'une grande diversité entre les pays de la CEDEAO pour la préparation de la transition vers un éclairage efficace. Certains pays possèdent l’expérience et les ressources pour soutenir la transition vers un éclairage efficace, d’autres doivent encore développer tous les éléments et les capacités nécessaires.
Selon Gustau Manez, chef de projet au PNUE, ''une efficacité de l’énergie est une bonne nouvelle pour l’environnement et pour les changements climatiques et pour l’économie de tous ces pays''.
‘’L’approbation de cette stratégie sur l’efficacité énergétique permettra à plus de 80% des pays du monde de bannir l’utilisation des lampes à incandescence ce qui est une bonne nouvelle pour les changements climatiques’’, a-t-il encore dit.
Pour réussir cela, a noté l’expert, ''il faut développer des standards minimaux de performance et de qualité sur le produit de l’éclairage qui laisse dehors l’incandescence''.
‘’Il faut dés lors des technologies qui sont plus efficaces comme les lampes à basse consommation’’, a-t-il expliqué.
M. Manez a préconisé une approche politique intégrée pour une transition rapide et durable vers un éclairage efficace dans la région de la CEDEAO et l'harmonisation des lois relatives à l’éclairage avec les autres normes régionales et avec les meilleures pratiques dans la région.
APS
La validation de ce document sur la stratégie régionale sur l’éclairage efficace est au cœur d’un atelier ouvert lundi à Dakar.
L'étude estime que le passage à un éclairage plus efficace permettra de réduire considérablement les charges de pointe dans les pays de la CEDEAO et de limiter les coupures électriques qui peuvent conduire à ''une réduction de l’activité économique, restreindre l’investissement et également être politiquement dommageables''.
Cependant, indique la même source, des technologies d’éclairage fiables, abordables et rentables existent et peuvent apporter des avantages aux utilisateurs dans les secteurs résidentiel et tertiaire.
Il s’agit des lampes fluorescentes compactes de qualité qui offrent jusqu’à 80% d’économie d’énergie par rapport aux lampes à incandescence qui peuvent durer 20 ans ou plus pour un usage standard de 3 heures par jour.
Le document fait état d'une grande diversité entre les pays de la CEDEAO pour la préparation de la transition vers un éclairage efficace. Certains pays possèdent l’expérience et les ressources pour soutenir la transition vers un éclairage efficace, d’autres doivent encore développer tous les éléments et les capacités nécessaires.
Selon Gustau Manez, chef de projet au PNUE, ''une efficacité de l’énergie est une bonne nouvelle pour l’environnement et pour les changements climatiques et pour l’économie de tous ces pays''.
‘’L’approbation de cette stratégie sur l’efficacité énergétique permettra à plus de 80% des pays du monde de bannir l’utilisation des lampes à incandescence ce qui est une bonne nouvelle pour les changements climatiques’’, a-t-il encore dit.
Pour réussir cela, a noté l’expert, ''il faut développer des standards minimaux de performance et de qualité sur le produit de l’éclairage qui laisse dehors l’incandescence''.
‘’Il faut dés lors des technologies qui sont plus efficaces comme les lampes à basse consommation’’, a-t-il expliqué.
M. Manez a préconisé une approche politique intégrée pour une transition rapide et durable vers un éclairage efficace dans la région de la CEDEAO et l'harmonisation des lois relatives à l’éclairage avec les autres normes régionales et avec les meilleures pratiques dans la région.
APS
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