« L’ARTP avait demandé à l’entreprise TRE de lui construire deux immeubles qui ont été payés en fin d’année 2011-2012 pour un coût total de 8,200 milliards FCFA entièrement payé», explique M. Abdou Karim Sall directeur général de l’ARTP lors d’une rencontre lundi à Dakar avec la presse sur les chantiers des immeubles inachevés. Selon lui, dès sa prise de fonction, il a pris les attaches de l’entrepreneur Cheikh Amar pour lui demander de prendre les dispositions afin que les immeubles soient livrés à l’ARTP. « A l’époque il avait pris sur lui de s’engager à les livrer le 31 décembre 2014. Ce qui n’a pas été fait jusqu’à ce jour », affirme mordicus le DG de l’ARTP. Selon toujours M. Sall, l’ARTP avait demandé le 8 avril 2015 un constat d’huissier pour déterminer l’état d’avancement des travaux. A la date du 29 juin 2015 Les chantiers se situaient toujours au niveau des gros œuvres.
Selon M. Sall cette situation cause un énorme préjudice à l’ARTP car il n’avait pas envisagé faire figurer sur le budget 2015 de sa structure des montants concernant les frais de location de son actuel siège.
« J’ai notifié à l’entreprise TRE l’ensemble des pénalités de retard allant de 2011 à 2014. Le montant a été facturés et nous poursuivons le recouvrement », révèle M. Sall qui n’a pas donné le total de ces pénalités. Il estime d’autre part que ses services juridiques vont étudier ce que la loi leur donne, ainsi que les possibilités qu’offre le code des marchés publics.
« Le plus important pour nous est que les immeubles soient livrés sans délai », avance M. Sall qui soutient que sa structure a subi des préjudices énormes avec notamment des locaux inadaptés et non fonctionnels et des collaborateurs dans une situation difficile.
El Hadj Diakhaté
Selon M. Sall cette situation cause un énorme préjudice à l’ARTP car il n’avait pas envisagé faire figurer sur le budget 2015 de sa structure des montants concernant les frais de location de son actuel siège.
« J’ai notifié à l’entreprise TRE l’ensemble des pénalités de retard allant de 2011 à 2014. Le montant a été facturés et nous poursuivons le recouvrement », révèle M. Sall qui n’a pas donné le total de ces pénalités. Il estime d’autre part que ses services juridiques vont étudier ce que la loi leur donne, ainsi que les possibilités qu’offre le code des marchés publics.
« Le plus important pour nous est que les immeubles soient livrés sans délai », avance M. Sall qui soutient que sa structure a subi des préjudices énormes avec notamment des locaux inadaptés et non fonctionnels et des collaborateurs dans une situation difficile.
El Hadj Diakhaté