«Ce projet ambitieux, prévu jusqu’au 31 décembre 2030, vise à améliorer les conditions de vie des femmes rurales, à structurer des groupements communautaires et à contribuer durablement à la souveraineté alimentaire au Sénégal », renseigne le communiqué.
Le Wapec, informe la même source, est cofinancé à hauteur de 78 % par la Haw et de 22 % par Heifer International Sénégal, avec un budget global de 120 710 288 FCFA pour sa phase pilote. Il repose sur un modèle éprouvé : le « passage de don », une approche solidaire par laquelle chaque bénéficiaire transmet la première portée de chèvres reçues à un autre membre de son groupement.
«Chaque groupement de 20 femmes recevra 10 chèvres reproductrices et 1 bouc géniteur, accompagnés d’un appui technique, de formations, de soins vétérinaires, d'équipements et d'alimentation. Ce mécanisme circulaire permet de bâtir une chaîne de solidarité intergénérationnelle et d’impulser une dynamique d’entrepreneuriat rural féminin », informe la même source.
La phase pilote sera déployée dans les départements de Podor (région de Saint-Louis) et Koungheul (région de Kaffrine), identifiés comme prioritaires en raison de leurs taux de pauvreté élevés, de leur faible accès aux services sociaux de base et de leur vulnérabilité aux chocs économiques.
Ces zones présentent des déficits marqués en infrastructures, un enclavement géographique, et un tissu économique limité. Le projet vise ainsi à créer un levier local de revenus, d’emploi et de résilience, avec un cycle de maturité de 2 ans par groupement.
Le Wapec, précise-t-on, s’inscrit pleinement dans la vision « Sénégal 2050 » et dans les Objectifs de développement durable (Odd), notamment ceux relatifs à la réduction de la pauvreté, à la lutte contre la faim, à un capital humain de qualité et à l’équité sociale.
Le communiqué souligne que la collaboration entre la Haw et Heifer International illustre une approche intégrée, inclusive et durable du développement, positionnant le waqf comme instrument stratégique de transformation sociale et économique.
Adou Faye
Le Wapec, informe la même source, est cofinancé à hauteur de 78 % par la Haw et de 22 % par Heifer International Sénégal, avec un budget global de 120 710 288 FCFA pour sa phase pilote. Il repose sur un modèle éprouvé : le « passage de don », une approche solidaire par laquelle chaque bénéficiaire transmet la première portée de chèvres reçues à un autre membre de son groupement.
«Chaque groupement de 20 femmes recevra 10 chèvres reproductrices et 1 bouc géniteur, accompagnés d’un appui technique, de formations, de soins vétérinaires, d'équipements et d'alimentation. Ce mécanisme circulaire permet de bâtir une chaîne de solidarité intergénérationnelle et d’impulser une dynamique d’entrepreneuriat rural féminin », informe la même source.
La phase pilote sera déployée dans les départements de Podor (région de Saint-Louis) et Koungheul (région de Kaffrine), identifiés comme prioritaires en raison de leurs taux de pauvreté élevés, de leur faible accès aux services sociaux de base et de leur vulnérabilité aux chocs économiques.
Ces zones présentent des déficits marqués en infrastructures, un enclavement géographique, et un tissu économique limité. Le projet vise ainsi à créer un levier local de revenus, d’emploi et de résilience, avec un cycle de maturité de 2 ans par groupement.
Le Wapec, précise-t-on, s’inscrit pleinement dans la vision « Sénégal 2050 » et dans les Objectifs de développement durable (Odd), notamment ceux relatifs à la réduction de la pauvreté, à la lutte contre la faim, à un capital humain de qualité et à l’équité sociale.
Le communiqué souligne que la collaboration entre la Haw et Heifer International illustre une approche intégrée, inclusive et durable du développement, positionnant le waqf comme instrument stratégique de transformation sociale et économique.
Adou Faye