Dans son intervention au cours de la réunion, Mamadou Djigo a fait savoir que le projet de cartographie mondiale a été et continue d'être un grand succès dans la sous-région Afrique de l'Ouest. Car il a permis de renforcer les capacités des pays à construire des ensembles de données et des cartes géospatiales fiables pour les besoins nationaux et régionaux de développement, d’être conscients sur l'importance des données géospatiales pour soutenir la prise de décision pour le développement socio-économique de nos pays.
«Il nous a permis en outre de comprendre la nécessité de respecter les normes et les normes spécifiques pour la production de données géospatiales, de gestion et de publication, de coordonner ces aspects au niveau national à travers les infrastructures nationales des données spatiales qui complètent l'infrastructure de données mondiale construite par le projet Global Mapping», note-t-il. De même, il a permis de démocratiser l’accès et d’encourager l'utilisation des ensembles de données globales pour résoudre divers problèmes aux niveaux national et régional à travers des études, des projets et des programmes.
«Le projet offre aussi l'occasion à nos organisations régionales (CEDEAO, UEMOA, OMVS, OMVG, etc.) pour initier des projets et des programmes d'intégration régionale. Il nous a aidés à comprendre quels sont nos besoins en termes de données, les systèmes de référence géodésiques, les normes, les spécifications», ajoute le DG de l’ANAT.
Pathé TOURE
«Il nous a permis en outre de comprendre la nécessité de respecter les normes et les normes spécifiques pour la production de données géospatiales, de gestion et de publication, de coordonner ces aspects au niveau national à travers les infrastructures nationales des données spatiales qui complètent l'infrastructure de données mondiale construite par le projet Global Mapping», note-t-il. De même, il a permis de démocratiser l’accès et d’encourager l'utilisation des ensembles de données globales pour résoudre divers problèmes aux niveaux national et régional à travers des études, des projets et des programmes.
«Le projet offre aussi l'occasion à nos organisations régionales (CEDEAO, UEMOA, OMVS, OMVG, etc.) pour initier des projets et des programmes d'intégration régionale. Il nous a aidés à comprendre quels sont nos besoins en termes de données, les systèmes de référence géodésiques, les normes, les spécifications», ajoute le DG de l’ANAT.
Pathé TOURE