
Selon la même source, l'inflation est restée faible à environ 0,4% et le crédit à l'économie a progressé de 11,3% en 2018. Cependant, la baisse des exportations en valeur, notamment liée à des cours du cacao sensiblement assez bas, et le renchérissement des cours du pétrole en 2018 ont accru le déficit du compte courant extérieur à 4,7% du PIB.
En outre, le déficit budgétaire s’est situé à 4% du PIB en 2018, avec des recettes plus faibles que prévu compensées toutefois par une révision à la baisse des investissements publics. L'activité économique devrait rester soutenue en 2019.
L'inflation devrait rester en dessous de 3% et le déficit budgétaire atteindre 3% du PIB en 2019. Des risques persistent toutefois, liés notamment au rythme plus lent que prévu de la mobilisation des recettes publiques, aux termes de l'échange défavorables et au resserrement des conditions financières internationales.
Adou FAYE
En outre, le déficit budgétaire s’est situé à 4% du PIB en 2018, avec des recettes plus faibles que prévu compensées toutefois par une révision à la baisse des investissements publics. L'activité économique devrait rester soutenue en 2019.
L'inflation devrait rester en dessous de 3% et le déficit budgétaire atteindre 3% du PIB en 2019. Des risques persistent toutefois, liés notamment au rythme plus lent que prévu de la mobilisation des recettes publiques, aux termes de l'échange défavorables et au resserrement des conditions financières internationales.
Adou FAYE