Les performances économiques et sociales déjà réalisées doivent être maintenues et amplifiées avec plus de création d’emplois durables et productifs, a-t-il ajouté lors de la cérémonie d’ouverture de la journée du monde du travail sous l’initiative de l’Amicale des Inspecteurs et Contrôleurs du Travail du Sénégal ayant pour thème : « Enjeux de flexibilité et évolution du droit de licenciement au Sénégal ».
Selon le premier ministre, les structures d’appui à la promotion des entreprises de même que les dispositifs de promotion de l’emploi des jeunes et des femmes et d’insertion professionnelle vont inéluctablement impulser la croissance économique et générer des emplois.
M. Dionne a invité dans ce sens les inspecteurs et contrôleurs du Travail à s’investir davantage dans la prévention et le règlement des conflits pour l’instauration d’un espace de paix dans le monde du travail.
Sous un autre registre, le premier ministre a noté qu’il était important de reconnaitre que le Sénégal s’est toujours attelé à disposer d’une législation et d’une réglementation sociale moderne et adaptées au contexte socio-économique.
Et selon lui, dans ce cadre, des réformes ont été réalisées exprimant une tendance générale à introduire plus de souplesse dans la législation sociale pour l’adapter aux exigences liées aux mutations économiques et aux contraintes de la concurrence.
Il indique que dans notre réglementation du travail, on peut considérer que la question de la flexibilité est prise en charge au Sénégal.
Toutefois, la notion de flexibilité est chargée d’une certaine ambigüité Cependant, nous pouvons la traduire comme étant le degré de permissivité, de dérogabilité et d’autonomie dont dispose l’entreprise dans la gestion des ressources humaines, a-t-il ajouté .
Les enjeux de compétitivité, de croissance, d’attraction des investissements et de création massive d’emplois pour les jeunes et les femmes, pèsent sur tous nos gouvernements, a conclu, M. Dionne.
Ndeye Maguette Kébé
Selon le premier ministre, les structures d’appui à la promotion des entreprises de même que les dispositifs de promotion de l’emploi des jeunes et des femmes et d’insertion professionnelle vont inéluctablement impulser la croissance économique et générer des emplois.
M. Dionne a invité dans ce sens les inspecteurs et contrôleurs du Travail à s’investir davantage dans la prévention et le règlement des conflits pour l’instauration d’un espace de paix dans le monde du travail.
Sous un autre registre, le premier ministre a noté qu’il était important de reconnaitre que le Sénégal s’est toujours attelé à disposer d’une législation et d’une réglementation sociale moderne et adaptées au contexte socio-économique.
Et selon lui, dans ce cadre, des réformes ont été réalisées exprimant une tendance générale à introduire plus de souplesse dans la législation sociale pour l’adapter aux exigences liées aux mutations économiques et aux contraintes de la concurrence.
Il indique que dans notre réglementation du travail, on peut considérer que la question de la flexibilité est prise en charge au Sénégal.
Toutefois, la notion de flexibilité est chargée d’une certaine ambigüité Cependant, nous pouvons la traduire comme étant le degré de permissivité, de dérogabilité et d’autonomie dont dispose l’entreprise dans la gestion des ressources humaines, a-t-il ajouté .
Les enjeux de compétitivité, de croissance, d’attraction des investissements et de création massive d’emplois pour les jeunes et les femmes, pèsent sur tous nos gouvernements, a conclu, M. Dionne.
Ndeye Maguette Kébé