Dans l’industrie, l’approvisionnement difficile en matières premières (37%), l’insuffisance de la demande (30%), les difficultés de recouvrement des créances (30%) et la concurrence supposée déloyale (26%) ont, majoritairement, constitué les principales contraintes à l’activité. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+7,1 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet de la bonne orientation des soldes d’opinion relatifs à la production, aux commandes et aux perspectives de commandes.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont le recouvrement difficile des créances (67%) et l’insuffisance de la demande (67%). Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé (-3,3 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs aux commandes (publiques et privées). Le pessimisme des entrepreneurs quant aux perspectives de commandes (publiques et privées) a, aussi, contribué à la régression de l’indicateur du sous-secteur.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué la concurrence jugée déloyale (44%), les difficultés de recouvrement des créances (44%), la fiscalité (33%) et l’insuffisance de la demande (33%) comme principales entraves à l’activité, en mars 2021. Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré (+3,1 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. Cette situation traduit l’optimisme, particulièrement prononcé, des interrogés quant aux perspectives de tarification des services.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (100%), l’approvisionnement difficile en marchandises (50%), l’insuffisance de la demande (50%) et la concurrence jugée déloyale (50%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en mars 2021. Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré (+0,4 point) en rythme mensuel, sous l’effet de l’orientation particulièrement positive du solde d’opinion relatif au chiffre d’affaires.
Adou FAYE
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont le recouvrement difficile des créances (67%) et l’insuffisance de la demande (67%). Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé (-3,3 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs aux commandes (publiques et privées). Le pessimisme des entrepreneurs quant aux perspectives de commandes (publiques et privées) a, aussi, contribué à la régression de l’indicateur du sous-secteur.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué la concurrence jugée déloyale (44%), les difficultés de recouvrement des créances (44%), la fiscalité (33%) et l’insuffisance de la demande (33%) comme principales entraves à l’activité, en mars 2021. Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré (+3,1 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. Cette situation traduit l’optimisme, particulièrement prononcé, des interrogés quant aux perspectives de tarification des services.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (100%), l’approvisionnement difficile en marchandises (50%), l’insuffisance de la demande (50%) et la concurrence jugée déloyale (50%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en mars 2021. Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré (+0,4 point) en rythme mensuel, sous l’effet de l’orientation particulièrement positive du solde d’opinion relatif au chiffre d’affaires.
Adou FAYE