Antoine Sire Directeur de l’Engagement d’Entreprise de BNP Paribas en compagnie des femmes de l’association Refane dans la vallée du fleuve Sénégal
Le projet, doté d’une enveloppe de 1 milliard de FCFA (1.8 million de dollars), s’étend sur une période de trois ans. Il traduit l’engagement de BNP Paribas dans le mouvement mondial de solidarité «HeForShe » qui vise à mobiliser une force vive et active en faveur de l’égalité des sexes. «HeForShe» est une initiative visant à mobiliser des chefs d’Etat et des dirigeants des secteurs publics ou privés dans le but de promouvoir publiquement et agir concrètement en faveur de l’égalité femmes-hommes sur des champs d’actions spécifiques.
Une délégation de BNP Paribas, conduite par M. Antoine Sire, Directeur de l’Engagement d’Entreprise de BNP Paribas, s’est rendue au Sénégal pour matérialiser cette action. Avec ONU/Femme, la délégation a été à Saint-Louis et dans différentes localités du Nord du Sénégal où à travers le «Focus Séquence Climat et Femmes», elle a été édifiée sur «l’accès des femmes à la terre et aux ressources productives pour une agriculture résiliente au changement climatique».
Dans cette partie du Sénégal où l’accès à la terre souffre d’énormes contraintes sociales et culturelles pour les femmes, ce partenariat BNP Paribas-ONU/Femmes permet d’aider et d’accompagner les femmes agricultrices dans la formulation de leur demande de crédit, visant à financer et accroître leur activité.
Il permet également d’accompagner les agricultrices vers des filières à haute valeur ajoutée (beurre de Karité, riz et autres maraichages) et les aider à identifier des techniques agricoles et des variétés de semences résilientes aux changements climatiques. C’est aussi une occasion de faciliter les relations contractuelles des agricultrices avec les grands acheteurs du secteur privé (industriels, exportateurs, etc.) et les accompagner dans la commercialisation de leur culture.
Ce projet, dont la mise en œuvre sera assurée par ONU/Femmes couvrira les régions à fort potentiel agricole de Saint-Louis, Kolda, Tambacounda, Ziguinchor et la zone des Niayes. Il s’adresse à plus de 30 000 agricultrices sénégalaises, avec pour but de les aider à gagner en autonomie économique mais aussi de renforcer la résilience au changement climatique de l’agriculture sénégalaise.
Une délégation de BNP Paribas, conduite par M. Antoine Sire, Directeur de l’Engagement d’Entreprise de BNP Paribas, s’est rendue au Sénégal pour matérialiser cette action. Avec ONU/Femme, la délégation a été à Saint-Louis et dans différentes localités du Nord du Sénégal où à travers le «Focus Séquence Climat et Femmes», elle a été édifiée sur «l’accès des femmes à la terre et aux ressources productives pour une agriculture résiliente au changement climatique».
Dans cette partie du Sénégal où l’accès à la terre souffre d’énormes contraintes sociales et culturelles pour les femmes, ce partenariat BNP Paribas-ONU/Femmes permet d’aider et d’accompagner les femmes agricultrices dans la formulation de leur demande de crédit, visant à financer et accroître leur activité.
Il permet également d’accompagner les agricultrices vers des filières à haute valeur ajoutée (beurre de Karité, riz et autres maraichages) et les aider à identifier des techniques agricoles et des variétés de semences résilientes aux changements climatiques. C’est aussi une occasion de faciliter les relations contractuelles des agricultrices avec les grands acheteurs du secteur privé (industriels, exportateurs, etc.) et les accompagner dans la commercialisation de leur culture.
Ce projet, dont la mise en œuvre sera assurée par ONU/Femmes couvrira les régions à fort potentiel agricole de Saint-Louis, Kolda, Tambacounda, Ziguinchor et la zone des Niayes. Il s’adresse à plus de 30 000 agricultrices sénégalaises, avec pour but de les aider à gagner en autonomie économique mais aussi de renforcer la résilience au changement climatique de l’agriculture sénégalaise.
De gauche à droite Patrick Pitton Administrateur Directeur général de la Bicis et Antoine Sire Directeur de l’Engagement d’Entreprise de BNP Paribas
La Bicis au Sénégal se porte bien et reste dans la ligne de ses prédécesseurs
La Bicis au Sénégal se porte bien et reste dans la ligne tracée par ses dirigeants prédécesseurs à l’image de Amadou Kane et Pierre Bérégovoy. C’est la conviction de son Administrateur, directeur général, Patrick Pitton. Dans un entretien réalisé avec le journal de l’économie sénégalaise (lejecos) en prélude au lancement du partenariat BNP Paribas et ONU/Femmes, il a confié que la banque a fait un résultat de 9,5 milliards de FCfa en 2017, un résultat historique et a bon espoir pour 2018.
«BNP Paribas est présente, depuis longtemps, au Sénégal par le biais de la Bicis et a un très fort ancrage dans le pays. Nous menons une politique volontaire et nous sommes sur les pays de présence en Afrique pour faire quelque chose de précis avec des idées précises via nos modèles de développement ». . Au Sénégal, explique-t-il, "nous nous concentrons essentiellement sur la clientèle des entreprises de toutes tailles y compris les grandes entreprises ainsi que celles sur notre clientèle de particuliers qui nous est fidèle depuis longtemps et qui sont les socles de la banque."
«Dans ce cadre, la Bicis se porte bien avec 35 agences, 550 collaborateurs. Nous avons fait un résultat de 9,5 milliards de FCfa en 2017, un résultat historique. J’ai bon espoir que nous soyons en 2018 dans cette zone-là. Les résultats des banques peuvent s’interpréter aussi en fonction de leur politique de provisionnement », a révélé M. Pitton. De ce point de vue, poursuit-il, BNP Paribas a une politique extrêmement prudente et au bon sens du terme pour protéger les intérêts de ses actionnaires, de son personnel. Il a souligné que la banque travaille dans la durée et qu’elle a le culte des performances durables, un peu comme le développement et nous n’évoluons pas en dents de scies avec des effets d’annonce. «Nous sommes attachés au devenir et à la pérennité au moins longtemps qu’aux résultats instantanés."
BNP Paribas est en réflexion stratégique permanente sur les pays où elle travaille et sur les pays où elle pourrait se développer à l’avenir, le tout avec ce souci d’apporter le meilleur par ses banques dans les pays où elle est », a indiqué l’Administrateur de la Bicis.
Se prononçant sur les normes bâloises, Patrick Pitton confie que sa banque a mis en place un programme de renforcement des fonds propres tourné essentiellement sur la rentabilité de la banque et la
politique de distribution, qui pour l’instant met parfaitement en ligne la Bicis avec la marge de sécurité nécessaire pour satisfaire aux ratios de Bâle et Bâle 3 non seulement aujourd’hui mais surtout en 2021 », a souligné Patrick Pitton. Là, aussi, note-t-il, la banque se donne les moyens de poursuivre son développement et ne pas être confronté à ces contraintes financières qui sont mondiales et qui ont peut être
rattrapé l’Afrique avec léger décalage. «Et du coup, il faut aller plus vite et c’est ce qui se fait en ce moment. Et c’est au cœur de notre préoccupation. Nous sommes bien dans notre plan de marge grâce
à la compréhension de nos actionnaires », a conclu l’Administrateur directeur général de la Bicis.
BNP Paribas compte jouer pleinement sa partition pour l’autonomisation des femmes.
Quant à Antoine Sire, Directeur de l’Engagement d’Entreprise de BNP Paribas , il indique que Bnp Paribas compte jouer pleinement sa partition pour l’autonomisation des femmes. C’est dans ce cadre avec Onu/Femmes, que la banque a initié un programme qui s’adresse à 30 mille femmes au Sénégal. Pour conforter l’engagement du Groupe, il confie que : « Notre Administrateur Directeur Général, Jean-Laurent Bonnafé, est devenu Thematic Champion de HeForShe, lancé par ONU Femmes. A travers ce programme, des chefs d’entreprise, des leaders politiques et des présidents d’universités s’engagent à promouvoir publiquement l’égalité entre les hommes et les femmes et à agir concrètement dans ce domaine, sur des champs d’actions spécifiques. Cela passe évidemment par des actions conduites au sein des entreprises », a déclaré M. Sire.
« Les entreprises prennent des engagements au sein de leurs organisations mais elles doivent aussi s’engager dans la société. Nous avons pris des mesures au sein de notre groupe, qui réunit 200 000 collaborateurs, et soutenons plusieurs initiatives en faveur de l’égalité femmes/hommes », a-t-il précisé.
Selon lui, il fallait choisir un programme. « Nous avons choisi d’accompagner ce programme visant à assurer l’autonomisation économique durable des agricultrices au Sénégal, une initiative conduite par Oulimata Sarr, Directrice régionale de ONU Femmes. Le programme s’adresse à 30 000 femmes et s’articule autour de quatre actions », a-t-il expliqué.
Il indique que « la première de ces actions vise à garantir un accès équitable à la terre en les aidant dans leur dialogue avec les autorités locales. Nous allons également les aider dans l’identification de nouvelles techniques agricoles car plus une agriculture essaie de se passer de pesticides et d’être résiliente aux changements climatiques, plus elle a besoin de compétences spécifiques », a souligné Antoine Sire, tout en rappelant l’importance de l’autonomie économique des agricultrices. Ce programme vise également à les aider et les accompagner dans la formulation de leur demande de crédit et faciliter leurs relations contractuelles avec les grands acheteurs du secteur privé.
Ismaila BA
La Bicis au Sénégal se porte bien et reste dans la ligne tracée par ses dirigeants prédécesseurs à l’image de Amadou Kane et Pierre Bérégovoy. C’est la conviction de son Administrateur, directeur général, Patrick Pitton. Dans un entretien réalisé avec le journal de l’économie sénégalaise (lejecos) en prélude au lancement du partenariat BNP Paribas et ONU/Femmes, il a confié que la banque a fait un résultat de 9,5 milliards de FCfa en 2017, un résultat historique et a bon espoir pour 2018.
«BNP Paribas est présente, depuis longtemps, au Sénégal par le biais de la Bicis et a un très fort ancrage dans le pays. Nous menons une politique volontaire et nous sommes sur les pays de présence en Afrique pour faire quelque chose de précis avec des idées précises via nos modèles de développement ». . Au Sénégal, explique-t-il, "nous nous concentrons essentiellement sur la clientèle des entreprises de toutes tailles y compris les grandes entreprises ainsi que celles sur notre clientèle de particuliers qui nous est fidèle depuis longtemps et qui sont les socles de la banque."
«Dans ce cadre, la Bicis se porte bien avec 35 agences, 550 collaborateurs. Nous avons fait un résultat de 9,5 milliards de FCfa en 2017, un résultat historique. J’ai bon espoir que nous soyons en 2018 dans cette zone-là. Les résultats des banques peuvent s’interpréter aussi en fonction de leur politique de provisionnement », a révélé M. Pitton. De ce point de vue, poursuit-il, BNP Paribas a une politique extrêmement prudente et au bon sens du terme pour protéger les intérêts de ses actionnaires, de son personnel. Il a souligné que la banque travaille dans la durée et qu’elle a le culte des performances durables, un peu comme le développement et nous n’évoluons pas en dents de scies avec des effets d’annonce. «Nous sommes attachés au devenir et à la pérennité au moins longtemps qu’aux résultats instantanés."
BNP Paribas est en réflexion stratégique permanente sur les pays où elle travaille et sur les pays où elle pourrait se développer à l’avenir, le tout avec ce souci d’apporter le meilleur par ses banques dans les pays où elle est », a indiqué l’Administrateur de la Bicis.
Se prononçant sur les normes bâloises, Patrick Pitton confie que sa banque a mis en place un programme de renforcement des fonds propres tourné essentiellement sur la rentabilité de la banque et la
politique de distribution, qui pour l’instant met parfaitement en ligne la Bicis avec la marge de sécurité nécessaire pour satisfaire aux ratios de Bâle et Bâle 3 non seulement aujourd’hui mais surtout en 2021 », a souligné Patrick Pitton. Là, aussi, note-t-il, la banque se donne les moyens de poursuivre son développement et ne pas être confronté à ces contraintes financières qui sont mondiales et qui ont peut être
rattrapé l’Afrique avec léger décalage. «Et du coup, il faut aller plus vite et c’est ce qui se fait en ce moment. Et c’est au cœur de notre préoccupation. Nous sommes bien dans notre plan de marge grâce
à la compréhension de nos actionnaires », a conclu l’Administrateur directeur général de la Bicis.
BNP Paribas compte jouer pleinement sa partition pour l’autonomisation des femmes.
Quant à Antoine Sire, Directeur de l’Engagement d’Entreprise de BNP Paribas , il indique que Bnp Paribas compte jouer pleinement sa partition pour l’autonomisation des femmes. C’est dans ce cadre avec Onu/Femmes, que la banque a initié un programme qui s’adresse à 30 mille femmes au Sénégal. Pour conforter l’engagement du Groupe, il confie que : « Notre Administrateur Directeur Général, Jean-Laurent Bonnafé, est devenu Thematic Champion de HeForShe, lancé par ONU Femmes. A travers ce programme, des chefs d’entreprise, des leaders politiques et des présidents d’universités s’engagent à promouvoir publiquement l’égalité entre les hommes et les femmes et à agir concrètement dans ce domaine, sur des champs d’actions spécifiques. Cela passe évidemment par des actions conduites au sein des entreprises », a déclaré M. Sire.
« Les entreprises prennent des engagements au sein de leurs organisations mais elles doivent aussi s’engager dans la société. Nous avons pris des mesures au sein de notre groupe, qui réunit 200 000 collaborateurs, et soutenons plusieurs initiatives en faveur de l’égalité femmes/hommes », a-t-il précisé.
Selon lui, il fallait choisir un programme. « Nous avons choisi d’accompagner ce programme visant à assurer l’autonomisation économique durable des agricultrices au Sénégal, une initiative conduite par Oulimata Sarr, Directrice régionale de ONU Femmes. Le programme s’adresse à 30 000 femmes et s’articule autour de quatre actions », a-t-il expliqué.
Il indique que « la première de ces actions vise à garantir un accès équitable à la terre en les aidant dans leur dialogue avec les autorités locales. Nous allons également les aider dans l’identification de nouvelles techniques agricoles car plus une agriculture essaie de se passer de pesticides et d’être résiliente aux changements climatiques, plus elle a besoin de compétences spécifiques », a souligné Antoine Sire, tout en rappelant l’importance de l’autonomie économique des agricultrices. Ce programme vise également à les aider et les accompagner dans la formulation de leur demande de crédit et faciliter leurs relations contractuelles avec les grands acheteurs du secteur privé.
Ismaila BA