chroniques
Cheville ouvrière des pays en développement, les finances publiques sont si importantes qu’il faudra les prendre au sérieux. C’est pourquoi les ministres des Finances en provenance de 17 pays africains francophones sont unanimes qu’il y a lieu de faire plus de réformes. Et cela ils l’ont dit à l’occasion de la Conférence sur la Gestion des Finances Publiques à Dakar, tenue à Dakar
Le but de cette conférence est de faire le point sur les progrès accomplis dans la reforme de la gestion des finances publiques (PFM), avec comme objectif de lancer un appel à l'action afin de relever les défis persistants, souligne un communiqué.
En effet, les perspectives économiques mondiales et africaines qui sont actuellement plus modérées obligent les autorités publiques en Afrique et dans d’autres parties du monde à améliorer leur gestion des ressources publiques par le biais des processus et des systèmes de GFP plus efficaces.
«Le point de départ de l’amélioration de la gestion des Finances Publiques est une information financière de haute qualité que les décideurs peuvent utiliser pour prendre des décisions éclairés en ce qui concerne la budgétisation, la mobilisation des ressources, la répartition, l'audit et le contrôle», soutient Alta Prinsloo, Directrice exécutif en charge des stratégies et directeur des opérations, Fédération internationale des comptables.
Pour sa part, Mamour Fall, président de la FIDEF a déclaré: que «la région de l'Afrique francophone affiche ces dernières années avancées impressionnantes en termes de facilité de faire des affaires et d’attraction des investissements étrangers. Une Gestion plus efficace et efficiente des ressources publiques donnera lieu à un éventail toujours plus large de services publics de qualité, une croissance économique durable, une augmentation de l'emploi et une meilleure promotion de la lutte contre la pauvreté et l'inégalité».
La conférence est conjointement organisée par la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD), la Fédération Internationale des Comptables (IFAC), la Fédération Internationale des Experts Comptables Francophones (FIDEF), la Fédération panafricaine des experts comptables (PAFA) et ONECCA.
Pathé TOURE
Le but de cette conférence est de faire le point sur les progrès accomplis dans la reforme de la gestion des finances publiques (PFM), avec comme objectif de lancer un appel à l'action afin de relever les défis persistants, souligne un communiqué.
En effet, les perspectives économiques mondiales et africaines qui sont actuellement plus modérées obligent les autorités publiques en Afrique et dans d’autres parties du monde à améliorer leur gestion des ressources publiques par le biais des processus et des systèmes de GFP plus efficaces.
«Le point de départ de l’amélioration de la gestion des Finances Publiques est une information financière de haute qualité que les décideurs peuvent utiliser pour prendre des décisions éclairés en ce qui concerne la budgétisation, la mobilisation des ressources, la répartition, l'audit et le contrôle», soutient Alta Prinsloo, Directrice exécutif en charge des stratégies et directeur des opérations, Fédération internationale des comptables.
Pour sa part, Mamour Fall, président de la FIDEF a déclaré: que «la région de l'Afrique francophone affiche ces dernières années avancées impressionnantes en termes de facilité de faire des affaires et d’attraction des investissements étrangers. Une Gestion plus efficace et efficiente des ressources publiques donnera lieu à un éventail toujours plus large de services publics de qualité, une croissance économique durable, une augmentation de l'emploi et une meilleure promotion de la lutte contre la pauvreté et l'inégalité».
La conférence est conjointement organisée par la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD), la Fédération Internationale des Comptables (IFAC), la Fédération Internationale des Experts Comptables Francophones (FIDEF), la Fédération panafricaine des experts comptables (PAFA) et ONECCA.
Pathé TOURE
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