Selon un communiqué de presse, le guichet unique maritime est une plateforme numérique centralisée qui permet un échange d'informations transparent entre les navires et les agences gouvernementales, simplifiant ainsi les procédures d'arrivée, de séjour et de départ des navires dans les ports. En améliorant la qualité des données et en réduisant les erreurs, explique-t-on, la plateforme facilite le commerce, réduit les coûts logistiques et renforce la compétitivité des ports africains.
Le communiqué informe que l'atelier a réuni 79 personnes, dont 20 femmes, représentantes des administrations maritimes, des autorités portuaires et des agences douanières du Bénin, du Cameroun, des Comores, du Congo, de la Côte d'Ivoire, de la République démocratique du Congo, du Gabon, de la Guinée, de Madagascar, de la Mauritanie, du Sénégal et du Togo.
Les participantes et participants ont renforcé les connaissances régionales sur la mise en œuvre des systèmes de guichet unique maritime en partageant les leçons apprises et les bonnes pratiques issues des missions d'évaluation des besoins menées par l'Omi au Bénin, en Côte d'Ivoire, en Guinée, au Liberia, en Mauritanie, en Sierra Leone et au Togo.
Les États membres africains participants ont présenté leurs systèmes portuaires actuels, ce qui a permis un apprentissage par les pairs sur les progrès, les défis et les opportunités. Ils ont souligné que les systèmes de guichet unique maritime étaient des éléments essentiels d'un écosystème de facilitation des échanges plus large et harmonisé au niveau régional.
L'atelier a permis aux pays d'accélérer le déploiement des systèmes de guichet unique maritime en approfondissant leur compréhension de la Convention visant à faciliter le trafic maritime international de l'Omi.
Ces connaissances permettront de renforcer la coordination entre les parties prenantes des ports et de clarifier les exigences en matière de financement et de politique pour la mise en œuvre des systèmes de guichet unique maritime.
Adou FAYE
Le communiqué informe que l'atelier a réuni 79 personnes, dont 20 femmes, représentantes des administrations maritimes, des autorités portuaires et des agences douanières du Bénin, du Cameroun, des Comores, du Congo, de la Côte d'Ivoire, de la République démocratique du Congo, du Gabon, de la Guinée, de Madagascar, de la Mauritanie, du Sénégal et du Togo.
Les participantes et participants ont renforcé les connaissances régionales sur la mise en œuvre des systèmes de guichet unique maritime en partageant les leçons apprises et les bonnes pratiques issues des missions d'évaluation des besoins menées par l'Omi au Bénin, en Côte d'Ivoire, en Guinée, au Liberia, en Mauritanie, en Sierra Leone et au Togo.
Les États membres africains participants ont présenté leurs systèmes portuaires actuels, ce qui a permis un apprentissage par les pairs sur les progrès, les défis et les opportunités. Ils ont souligné que les systèmes de guichet unique maritime étaient des éléments essentiels d'un écosystème de facilitation des échanges plus large et harmonisé au niveau régional.
L'atelier a permis aux pays d'accélérer le déploiement des systèmes de guichet unique maritime en approfondissant leur compréhension de la Convention visant à faciliter le trafic maritime international de l'Omi.
Ces connaissances permettront de renforcer la coordination entre les parties prenantes des ports et de clarifier les exigences en matière de financement et de politique pour la mise en œuvre des systèmes de guichet unique maritime.
Adou FAYE


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