« Nos administrations doivent disposer de ressources humaines de qualité pour concevoir et mettre en œuvre les politiques. C’est pourquoi, ce troisième atelier au profit des fonctionnaires des ministères de l’Economie et des finances de l’Union est d’une importance capitale », a déclaré dans son discours de bienvenue le Directeur Adjoint de l’Agence UMOA-Titres, M. Badanam PATOKI. Il a tenu à réitérer les remerciements de l’Agence UMOA-Titres à la Banque mondiale, au Fonds Monétaire Internationale (FMI) et au Trésor américain, pour l’assistance qu’ils apportent à la mise en œuvre dudit programme de renforcement des capacités. M. PATOKI a par ailleurs salué la participation de la Guinée et de la Mauritanie à cet atelier.
M. Gregory Horman, Expert Senior à la Banque mondiale et un des animateurs du séminaire avec Mme Indhu Raghavan de la Banque mondiale et Oumar Dissou Conseiller résident à AFRITAC de l’Ouest a invité les participants « à rechercher, dans le cadre de cette formation, les applications pratiques de ce qu’ils auront appris, à partir des explications théoriques et du partage d’expérience entre pays ».
De manière concrète, les participants ont planché, sur des sujets relatifs aux défis liés à la mise en œuvre de la stratégie de gestion de la dette à moyen terme, tels que le choix des instruments financiers, les mécanismes d’émissions appropriés, l’élaboration du plan annuel de financement et du calendrier des émissions de titres publics ainsi que le mécanisme de rachats et d’échanges de titres.
Selon M. Oumar Dissou, la SDMT renseigne sur la composition du portefeuille de la dette que le gouvernement souhaiterait atteindre. De ce fait, « elle reflète les préférences de coûts et de risques des décideurs en matière de gestion de la dette. »
S’agissant du lien entre le plan annuel de financement et la SDMT, M. Dissou a expliqué que ce plan décrit la manière dont la SDMT est mise en œuvre au cours des exercices budgétaires successifs, en termes de volumes des emprunts annuels et leur décomposition en instruments de court et de long terme. Par conséquent, a-t-il précisé, « l’allocation du portefeuille de dette, extérieure et intérieure, devrait, dans la mesure du possible, refléter la clé de répartition et les objectifs assignés dans la SDMT ».
Amadou BA
M. Gregory Horman, Expert Senior à la Banque mondiale et un des animateurs du séminaire avec Mme Indhu Raghavan de la Banque mondiale et Oumar Dissou Conseiller résident à AFRITAC de l’Ouest a invité les participants « à rechercher, dans le cadre de cette formation, les applications pratiques de ce qu’ils auront appris, à partir des explications théoriques et du partage d’expérience entre pays ».
De manière concrète, les participants ont planché, sur des sujets relatifs aux défis liés à la mise en œuvre de la stratégie de gestion de la dette à moyen terme, tels que le choix des instruments financiers, les mécanismes d’émissions appropriés, l’élaboration du plan annuel de financement et du calendrier des émissions de titres publics ainsi que le mécanisme de rachats et d’échanges de titres.
Selon M. Oumar Dissou, la SDMT renseigne sur la composition du portefeuille de la dette que le gouvernement souhaiterait atteindre. De ce fait, « elle reflète les préférences de coûts et de risques des décideurs en matière de gestion de la dette. »
S’agissant du lien entre le plan annuel de financement et la SDMT, M. Dissou a expliqué que ce plan décrit la manière dont la SDMT est mise en œuvre au cours des exercices budgétaires successifs, en termes de volumes des emprunts annuels et leur décomposition en instruments de court et de long terme. Par conséquent, a-t-il précisé, « l’allocation du portefeuille de dette, extérieure et intérieure, devrait, dans la mesure du possible, refléter la clé de répartition et les objectifs assignés dans la SDMT ».
Amadou BA