Cette décision a été prise au sortir d’un atelier de sensibilisation et d’échange sur la situation d’inégalité sociale alarmante que vivent les populations rurales.
Une situation qui a conduit les camarades de Birahim Seck a recommandé au gouvernement de Macky 2 d’assurer une plus grande transparence dans le processus de réception et de distribution des semences et des intrants agricoles.
Les sections du Forum Civil qui s’activent dans le bassin arachidier veulent que le prochain attelage gouvernemental assure aux paysans des semences de qualité, les encourage à participer aux coopératives agricoles mais aussi de garantir une meilleure sélection et un meilleur contrôle des acteurs intervenant dans le secteur (gérants de Secco, délégués de quartier, chefs de village etc.).
A cela s’ajoute la nécessité de renforcer la présence de la société civile dans le processus, de mettre en adéquation les lieux de distribution et la domiciliation des bénéficiaires, d’assurer plus de transparence dans le processus d’attribution des agréments.
Le futur gouvernement est aussi prié de protéger les paysans contre les racketeurs véreux présents tout au long du processus de distribution/ etc.
Cette kyrielle de recommandations est partie d’un diagnostic sans complaisance qui a permis à cette organisation de la société civile de constater que la qualité souvent douteuse des semences, les quantités de semences inférieures aux besoins exprimés ; le retard dans la livraison des semences et des intrants.
Ces acteurs de la société civile établis dans le bassin arachidier pointent aussi du doigt le clientélisme dans la mise à disposition des semences, engrais et matériels agricoles ; l’iniquité dans le traitement entre communes rurales et communes urbaines, des soupçons de fraude dans les attestations des semences dites certifiées.
Entre autres goulots d’étranglement qui plombent l’envol du secteur figure l’économie mafieuse entretenue par certains opérateurs qui s’adonnent au système de vente-rachat ruineuse pour les populations rurales et l’Etat ; l’opacité dans le processus d’attribution des agréments aux opérateurs.
Les coéquipiers de Birahim Seck ont également fustigé la pression foncière sur l’espace agricole due à l’urbanisation, à l’investissement industriel, minier, énergétique… l’existence de prête-noms qui permet à des non ayants droits de bénéficier indûment de matériels agricoles, semences et d’engrais etc.
Mariama Diallo
Une situation qui a conduit les camarades de Birahim Seck a recommandé au gouvernement de Macky 2 d’assurer une plus grande transparence dans le processus de réception et de distribution des semences et des intrants agricoles.
Les sections du Forum Civil qui s’activent dans le bassin arachidier veulent que le prochain attelage gouvernemental assure aux paysans des semences de qualité, les encourage à participer aux coopératives agricoles mais aussi de garantir une meilleure sélection et un meilleur contrôle des acteurs intervenant dans le secteur (gérants de Secco, délégués de quartier, chefs de village etc.).
A cela s’ajoute la nécessité de renforcer la présence de la société civile dans le processus, de mettre en adéquation les lieux de distribution et la domiciliation des bénéficiaires, d’assurer plus de transparence dans le processus d’attribution des agréments.
Le futur gouvernement est aussi prié de protéger les paysans contre les racketeurs véreux présents tout au long du processus de distribution/ etc.
Cette kyrielle de recommandations est partie d’un diagnostic sans complaisance qui a permis à cette organisation de la société civile de constater que la qualité souvent douteuse des semences, les quantités de semences inférieures aux besoins exprimés ; le retard dans la livraison des semences et des intrants.
Ces acteurs de la société civile établis dans le bassin arachidier pointent aussi du doigt le clientélisme dans la mise à disposition des semences, engrais et matériels agricoles ; l’iniquité dans le traitement entre communes rurales et communes urbaines, des soupçons de fraude dans les attestations des semences dites certifiées.
Entre autres goulots d’étranglement qui plombent l’envol du secteur figure l’économie mafieuse entretenue par certains opérateurs qui s’adonnent au système de vente-rachat ruineuse pour les populations rurales et l’Etat ; l’opacité dans le processus d’attribution des agréments aux opérateurs.
Les coéquipiers de Birahim Seck ont également fustigé la pression foncière sur l’espace agricole due à l’urbanisation, à l’investissement industriel, minier, énergétique… l’existence de prête-noms qui permet à des non ayants droits de bénéficier indûment de matériels agricoles, semences et d’engrais etc.
Mariama Diallo