chroniques
''Le concept de culture de la sûreté repose sur un principe : la responsabilité de tous, à tous les niveaux'', a-t-il notamment dit en début du week-end dernier, à l'occasion du vingtième anniversaire de la Haute autorité des aéroports du Sénégal (HAAS).
Au cours de cette activité qui s'est tenue à l'aéroport international Blaise Diagne (AIBD) de Diass, il a soutenu que ce concept désigne un ensemble de normes, de convictions, de valeurs et d'idées inhérentes au fonctionnement quotidien d'une organisation.
Celles-ci sont incarnées dans les actions et les comportements de toutes les composantes de tout le personnel de la HAAS et des dirigeants du secteur aéronautique, selon Sidy Guèye.
''La culture de la sûreté doit se refléter partout dans les organisations de l'aviation civile notamment dans les processus de prise de décision et l'allocation des ressources'', a poursuivi le DG de l'ANACIM.
C'est ainsi que, d'après lui, pour attirer l'attention des Etats sur son importance, l'Organisation mondiale de l'aviation civile (OACI) a déclaré 2021, ''Année OACI de la culture de la sûreté''.
''Bâtir une culture de la sûreté est un processus permanent et nécessite l'engagement et l'implication de toutes les parties prenantes'', a assuré M. Guèye.
Dans le cadre de la mise en œuvre continue de cette culture de la sûreté, il est prévu la ''définition claire'' des responsabilités de chacune des entités concernées et de leurs obligations en matière de sûreté et du respect de ces obligations, entre autres.
Dans cette même dynamique, l'ANACIM a dégagé des activités prioritaires à court terme, notamment l'adaptation du cadre législatif et réglementaire aux objectifs visés, la mise à niveau des programmes nationaux de sûreté et de veiller à leur diffusion optimale, etc.
''Les ambitions du Sénégal déclinées dans le projet hub aérien et touristique doivent pousse chacun de nous à adopter cette culture de la sûreté et à l'intégrer dans ses activités au sein de son organisation'', a ajouté Sidy Guèye.
Serigne Makhtar Fall
Au cours de cette activité qui s'est tenue à l'aéroport international Blaise Diagne (AIBD) de Diass, il a soutenu que ce concept désigne un ensemble de normes, de convictions, de valeurs et d'idées inhérentes au fonctionnement quotidien d'une organisation.
Celles-ci sont incarnées dans les actions et les comportements de toutes les composantes de tout le personnel de la HAAS et des dirigeants du secteur aéronautique, selon Sidy Guèye.
''La culture de la sûreté doit se refléter partout dans les organisations de l'aviation civile notamment dans les processus de prise de décision et l'allocation des ressources'', a poursuivi le DG de l'ANACIM.
C'est ainsi que, d'après lui, pour attirer l'attention des Etats sur son importance, l'Organisation mondiale de l'aviation civile (OACI) a déclaré 2021, ''Année OACI de la culture de la sûreté''.
''Bâtir une culture de la sûreté est un processus permanent et nécessite l'engagement et l'implication de toutes les parties prenantes'', a assuré M. Guèye.
Dans le cadre de la mise en œuvre continue de cette culture de la sûreté, il est prévu la ''définition claire'' des responsabilités de chacune des entités concernées et de leurs obligations en matière de sûreté et du respect de ces obligations, entre autres.
Dans cette même dynamique, l'ANACIM a dégagé des activités prioritaires à court terme, notamment l'adaptation du cadre législatif et réglementaire aux objectifs visés, la mise à niveau des programmes nationaux de sûreté et de veiller à leur diffusion optimale, etc.
''Les ambitions du Sénégal déclinées dans le projet hub aérien et touristique doivent pousse chacun de nous à adopter cette culture de la sûreté et à l'intégrer dans ses activités au sein de son organisation'', a ajouté Sidy Guèye.
Serigne Makhtar Fall
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