L’Afrique subsaharienne améliore sa situation en termes de mondialisation, au profit de sa population, estime DHL

Mardi 18 Novembre 2014

Récemment publié, l'indice de connectivité mondiale de DHL (Global Connectedness Index, GCI) analyse détaillée de la situation de la mondialisation d’un bout à l’autre de la planète fournie par le leader mondial de la logistique DHL, indique que la région couvrant l’Afrique subsaharienne occupe la troisième place en termes d’amélioration de la connectivité pour la période s’étendant entre 2011 et 2013, d’après un communiqué reçu à notre rédaction .


En outre, cinq pays (Burundi, Mozambique, Madagascar, Mali et Côte d'Ivoire) parmi ceux présentant la plus forte croissance des chiffres de connectivité sont situés dans cette région. La position du Burundi, qui affiche la plus forte hausse de ses chiffres au niveau mondial (en passant de la 140e à la 137e place), résulte d’une considérable intensification de ses relations internationales, a-t-on ajouté dans le texte.
’’ La mondialisation décrit le processus par lequel les entreprises ou d'autres organisations développent une influence internationale ou étendent leurs activités commerciales à l’échelle mondiale’’.
Selon Charles Brewer, directeur général de DHL Express Afrique subsaharienne, ‘’la mondialisation est l'une des forces majeures définissant la croissance économique du continent et recèle un vaste potentiel inexploité susceptible d’améliorer durablement le niveau de vie des Africains.
Il poursuit que ‘’Les populations des pays mondialisés bénéficient d'un meilleur accès à davantage de biens et de services, de prix plus bas et d’emplois mieux rémunérés. Connectivité et prospérité sont inextricablement liées et sont le résultat de la mondialisation. La croissance de connectivité de l'Afrique subsaharienne, telle que mise en évidence par l’indice GCI, prouve que cette région est sur la bonne voie en ce qui concerne les activités commerciales et la connectivité mondiales. ‘’ 
‘’Cette 3e édition de l’indice GCI classe 140 pays en fonction de leurs niveaux de connectivité mondiale, sur la base des flux internationaux d’échanges commerciaux, de capitaux, d’informations et de personnes. L'une des principales conclusions du rapport est que la connectivité mondiale, mesurée en flux transfrontaliers de commerce, de capitaux, d’informations et de personnes, est parvenue à compenser la majorité des pertes subies pendant la crise financière de 2008’’ apprend le texte .
‘’Le rapport souligne également que les économies émergentes sont en train de remodeler la connectivité mondiale et qu’elles participent désormais à la plupart des relations internationales’’, note le document.
Ndeye Maguette Kébé
 
 
 
 
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