
En effet, souligne la DPEE, les ressources et dons mobilisés sur les dix (10) premiers mois de 2016 sont évalués à 1781,5 milliards contre 1546,7 milliards un an auparavant, soit une hausse de 15,2% (+ 234,8 milliards).
Les ressources sont composées de recettes budgétaires pour 1506,1 milliards, de ressources exceptionnelles au titre du ‘’Swap’’ et de la licence Sonatel pour respectivement 40,2 milliards et 50 milliards, de recettes propres du FSE à hauteur de 35,4 milliards ainsi que de dons pour un montant estimé à 149,7 milliards.
Compte non tenu des montants perçus au titre des recettes exceptionnelles, les recettes budgétaires affichent à fin octobre 2016 une progression de 11,1% en glissement annuel, principalement soutenues par les recettes fiscales qui ont progressé de 12,6% (+160,8 milliards) pour s’établir à 1438 milliards. Le bon niveau de recouvrement des recettes fiscales traduit, essentiellement, les performances notées dans le recouvrement des impôts directs, des impôts indirects et du FSIPP.
Les impôts directs ont tiré profit des performances notées dans la mobilisation de l’impôt sur le revenu (250,9 milliards) et de l’impôt sur les sociétés (160,2 milliards) avec des hausses respectives de 18,6% et 13,3%. Quant aux impôts indirects, leur progression résulte du bon niveau de collecte de la TVA intérieure (205,6 milliards), des taxes spécifiques pétrole (60,3 milliards) et de la TVA à l’import (271,1 milliards) qui se sont respectivement consolidées de 5,2%, 21,3% et 7,3%.
Pathé TOURE
Les ressources sont composées de recettes budgétaires pour 1506,1 milliards, de ressources exceptionnelles au titre du ‘’Swap’’ et de la licence Sonatel pour respectivement 40,2 milliards et 50 milliards, de recettes propres du FSE à hauteur de 35,4 milliards ainsi que de dons pour un montant estimé à 149,7 milliards.
Compte non tenu des montants perçus au titre des recettes exceptionnelles, les recettes budgétaires affichent à fin octobre 2016 une progression de 11,1% en glissement annuel, principalement soutenues par les recettes fiscales qui ont progressé de 12,6% (+160,8 milliards) pour s’établir à 1438 milliards. Le bon niveau de recouvrement des recettes fiscales traduit, essentiellement, les performances notées dans le recouvrement des impôts directs, des impôts indirects et du FSIPP.
Les impôts directs ont tiré profit des performances notées dans la mobilisation de l’impôt sur le revenu (250,9 milliards) et de l’impôt sur les sociétés (160,2 milliards) avec des hausses respectives de 18,6% et 13,3%. Quant aux impôts indirects, leur progression résulte du bon niveau de collecte de la TVA intérieure (205,6 milliards), des taxes spécifiques pétrole (60,3 milliards) et de la TVA à l’import (271,1 milliards) qui se sont respectivement consolidées de 5,2%, 21,3% et 7,3%.
Pathé TOURE