L’énergie et la digitalisation au cœur des débats
La Cea a co-organisé une session sur la numérisation des corridors de transport, soulignant le rôle des technologies dans la fluidification du commerce intra-africain. Elle a également participé à un événement parallèle sur l’interconnexion énergétique, organisé conjointement par l’Auda-Nepad et la Global Energy Interconnection Development and Cooperation Organization (Geidco).
Lors de cette rencontre, M. Robert Lisinge, directeur de la division Technologie, Innovation, Connectivité et Développement des infrastructures (Ticid) de la Cea, a insisté sur le lien crucial entre technologies de pointe et sécurité énergétique.
« Les technologies émergentes, comme l’intelligence artificielle, exigent d’énormes quantités d’électricité que les pays africains auront du mal à produire individuellement. D’où l’importance des projets énergétiques régionaux », a-t-il souligné.
Une demande énergétique en forte croissance
Selon M. Lisinge, la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine devrait entraîner une hausse de la demande d’électricité de 8 % d’ici 2035 et de 14 % d’ici 2040. Cette projection renforce la nécessité d’investir dans des réseaux énergétiques interconnectés et durables, capables de soutenir l’industrialisation et le commerce intra-africain.
Co-organisé par la Commission de l’Union africaine (Cua), l’Auda-Nepad et le gouvernement angolais, le sommet de Luanda avait pour objectif de transformer les ambitions africaines en projets concrets, viables et attractifs pour les investisseurs.
Les résultats de cette rencontre devraient contribuer de manière significative à la réalisation des objectifs de la Zlecaf et du Programme de développement des infrastructures en Afrique (Pida), ouvrant la voie à une Afrique plus connectée, plus intégrée et plus prospère.
Bassirou MBAYE
La Cea a co-organisé une session sur la numérisation des corridors de transport, soulignant le rôle des technologies dans la fluidification du commerce intra-africain. Elle a également participé à un événement parallèle sur l’interconnexion énergétique, organisé conjointement par l’Auda-Nepad et la Global Energy Interconnection Development and Cooperation Organization (Geidco).
Lors de cette rencontre, M. Robert Lisinge, directeur de la division Technologie, Innovation, Connectivité et Développement des infrastructures (Ticid) de la Cea, a insisté sur le lien crucial entre technologies de pointe et sécurité énergétique.
« Les technologies émergentes, comme l’intelligence artificielle, exigent d’énormes quantités d’électricité que les pays africains auront du mal à produire individuellement. D’où l’importance des projets énergétiques régionaux », a-t-il souligné.
Une demande énergétique en forte croissance
Selon M. Lisinge, la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine devrait entraîner une hausse de la demande d’électricité de 8 % d’ici 2035 et de 14 % d’ici 2040. Cette projection renforce la nécessité d’investir dans des réseaux énergétiques interconnectés et durables, capables de soutenir l’industrialisation et le commerce intra-africain.
Co-organisé par la Commission de l’Union africaine (Cua), l’Auda-Nepad et le gouvernement angolais, le sommet de Luanda avait pour objectif de transformer les ambitions africaines en projets concrets, viables et attractifs pour les investisseurs.
Les résultats de cette rencontre devraient contribuer de manière significative à la réalisation des objectifs de la Zlecaf et du Programme de développement des infrastructures en Afrique (Pida), ouvrant la voie à une Afrique plus connectée, plus intégrée et plus prospère.
Bassirou MBAYE


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