L’intérêt, précise-t-on, est porté sur les unités de transformation artisanales et semi-industrielles de l’arachide. En d’autres termes, seules les industries formelles transformatrices d’arachide sont exclues du champ. Le champ comporte alors : les unités individuelles actives dans la transformation de l’arachide, les Groupements d’intérêt économique (Gie) et les entités semi-industrielles qui commercialisent tout ou une partie de leur production. L’étude a permis de recenser 902 unités évoluant dans la transformation non industrielle de l’arachide dans le bassin arachidier.
« Par ailleurs, la production en valeur, des produits dérivés de l’arachide, est de 22,21 milliards de FCFA en 2018 dont 15,95 milliards FCFA viennent de la production d’huile brute et 6,26 milliards FCFA répartis entre les autres produits dérivés de l’arachide. La région de Diourbel occupe la première place, avec 91% des unités recensées et 92% de la production. S’agissant de la richesse générée, l’activité a créé une valeur ajoutée de 9,54 milliards de FCFA. Au titre de l’emploi, une main d’œuvre de 9 813 individus au total a été enregistrée, dont 1176 permanents. La majorité des exploitants est constituée de femmes », révèle l’Ansd.
Adou FAYE
« Par ailleurs, la production en valeur, des produits dérivés de l’arachide, est de 22,21 milliards de FCFA en 2018 dont 15,95 milliards FCFA viennent de la production d’huile brute et 6,26 milliards FCFA répartis entre les autres produits dérivés de l’arachide. La région de Diourbel occupe la première place, avec 91% des unités recensées et 92% de la production. S’agissant de la richesse générée, l’activité a créé une valeur ajoutée de 9,54 milliards de FCFA. Au titre de l’emploi, une main d’œuvre de 9 813 individus au total a été enregistrée, dont 1176 permanents. La majorité des exploitants est constituée de femmes », révèle l’Ansd.
Adou FAYE