Néanmoins, l’indicateur de climat des affaires a gagné 8,6 points dans le sous-secteur, en rythme mensuel, du fait de l’augmentation de la main d’œuvre employée et du déstockage de produits finis pour faire face à l’augmentation des commandes. En outre, les bonnes perspectives de production, de niveau des stocks de produits finis et d’emploi de main d’œuvre ont contribué à l’amélioration du climat des affaires dans le sous-secteur.
D ans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés de recouvrement des créances (100%), la concurrence supposée déloyale (67%), l’accès difficile au crédit (33%) et au foncier (33%) ainsi que la vétusté de certains de leurs équipements ont constitué les principales contraintes à l’activité, en août 2018, selon les enquêtés. Toutefois, l’indice du climat des affaires dans les BTP a légèrement progressé de 0,8 point, tout en restant en dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation découle, particulièrement, de la bonne orientation des soldes d’opinion relatifs aux perspectives de commandes privées et publiques.
Concernant les services, les difficultés de recouvrement des créances (45%), la concurrence supposée déloyale (35%), l’insuffisance de la demande (30%), la fiscalité (20%) et la corruption et la fraude (15%) sont, notamment, cités, par les enquêtés, comme les principales entraves à l’activité, au mois d’août 2018. Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé de 0,6 point dans le sous-secteur, en rapport avec l’orientation défavorable des opinions relatives au chiffre d’affaires, aux commandes et aux tarifs pratiqués. En anticipation, les interrogés s’attendent majoritairement à une progression de leur chiffre d’affaires, soutenue par les effets conjugués des améliorations attendue.
Pour ce qui est du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (86%), la concurrence jugée déloyale (43%), les délestages d’électricité (43%), l’insuffisance de la demande (43%), la fiscalité (29%) et les difficultés d’approvisionnement (29%) sont majoritairement cités par les interviewés comme étant les principaux facteurs qui limitent leurs activités. Par ailleurs, l’indicateur du climat des affaires a reculé de 3,8 points sur un mois, particulièrement tiré par l’opinion des commerçants sur leur chiffre d’affaires. En septembre 2018, il est globalement attendu, dans le sous-secteur, un repli des commandes et du chiffre d’affaires, en-dessous de leurs moyennes respectives de long terme.
Pathé TOURE
D ans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés de recouvrement des créances (100%), la concurrence supposée déloyale (67%), l’accès difficile au crédit (33%) et au foncier (33%) ainsi que la vétusté de certains de leurs équipements ont constitué les principales contraintes à l’activité, en août 2018, selon les enquêtés. Toutefois, l’indice du climat des affaires dans les BTP a légèrement progressé de 0,8 point, tout en restant en dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation découle, particulièrement, de la bonne orientation des soldes d’opinion relatifs aux perspectives de commandes privées et publiques.
Concernant les services, les difficultés de recouvrement des créances (45%), la concurrence supposée déloyale (35%), l’insuffisance de la demande (30%), la fiscalité (20%) et la corruption et la fraude (15%) sont, notamment, cités, par les enquêtés, comme les principales entraves à l’activité, au mois d’août 2018. Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé de 0,6 point dans le sous-secteur, en rapport avec l’orientation défavorable des opinions relatives au chiffre d’affaires, aux commandes et aux tarifs pratiqués. En anticipation, les interrogés s’attendent majoritairement à une progression de leur chiffre d’affaires, soutenue par les effets conjugués des améliorations attendue.
Pour ce qui est du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (86%), la concurrence jugée déloyale (43%), les délestages d’électricité (43%), l’insuffisance de la demande (43%), la fiscalité (29%) et les difficultés d’approvisionnement (29%) sont majoritairement cités par les interviewés comme étant les principaux facteurs qui limitent leurs activités. Par ailleurs, l’indicateur du climat des affaires a reculé de 3,8 points sur un mois, particulièrement tiré par l’opinion des commerçants sur leur chiffre d’affaires. En septembre 2018, il est globalement attendu, dans le sous-secteur, un repli des commandes et du chiffre d’affaires, en-dessous de leurs moyennes respectives de long terme.
Pathé TOURE